Médiéval Fantastique (Ouvert)

Je me relevai tant bien que mal. Mon bras me faisant atrocement souffrir. Je dis au gens de ce village de regrouper leurs effet personnel les plus importants et que nous partions dans 30 minutes.

-Et qu'on m'apporte une trousse de premier soin!

Après m'être désinfecter, soigner et avoir mis un bandage sur ma plaie et m'avoir fait une attelle J'entendis un nouveau cri monstrueux. Les villageois accélérèrent alors leurs manœuvres et mirent place deux charrettes remplis de leurs bien tirer par le bœuf et les trois vache qui avaient survécu aux deux monstres. Nous partîmes alors. Le voyage de retour pris beaucoup plus de temps que l'allée. Nous voyageâmes ainsi toute la nuit et arrivèrent pendant l'après midi. Nous allions sortir de la forêt qui était à coter du village quand soudain Skippy arriva en courant sur la route devants nous et sans s'arrêter me bondit dans le visage. Skippy s'affolait rarement. Seulement en cas de réel danger. Après l'avoir calmer, je dis:

-Arrêter! Si je ne reviens pas, trouver un autre chemin vers la ville où caché vous. Surtout ne me suivez pas!

Je m'approchai de la lisière. Je vis un homme sortir en courant comme si la mort était a ses trousse et je vis que c'était le cas parce qu'un monstre comme celui que j'ai combattu sort du bois en lui courant après. Je dis qu'il était comme ceux que j'ai combattus, mais il est beaucoup, beaucoup plus gros et monstrueux que ceux que j'ai vus. Il terrassa l'homme et il se leva sur ses pattes arrières, sans doutes pour lui donner le coup final, quand une explosions apparue et couvrit le combat. L’homme, les mains couvertes de sang, courus vers la ville. Connaissant la vitesse de ces monstres, Je ne sais pas s’il aurait eu le temps de se rendre.

-une diversion s'impose....

Aussitôt dit, aussitôt fait. Skippy bondit de mon épaule et courut vers le monstre. Le monstre sortit à reculons du nuage de fumée. Skippy bondit et mordit l'intérieur de l'oreille de la bête. Elle cabra et se débattit en se griffant le visage, sa peau était si blinder qu'il ne se fit pas mal. Skippy courut alors partout sur la bête qui fit une danse endiabler pour se débarrasser de la fourmi qui l’énervait, mais mon écureuil était trop agile. L’homme entra alors dans la ville et les portes se refermèrent. Je courus alors à la porte. Je savais que Skippy allais bientôt se fatiguer alors je pris une pierre et la lança en visant un œil du monstre. PAF. Je le touchai entre les deux yeux. J'avais raté ma cible, mais au moins, le monstre me regarda et skippy disparut. Le monstre fut surpris de la disparition de skippy et le chercha pendant un instant.

-UN COUP DE MAIN LA HAUT?

Deux gardes se penchèrent et me regardèrent

-QU'EST-CE QUE TU FAIS LA?, me dit l'un d'eu

Le loup retourna son attention sur moi

-LA N'EST PAS LA QUESTION!, dis-je en leurs lançant ma corde

Le loup courut vers moi mes les gardes me remontèrent juste à temps.

L'homme était coucher face première par terre et une agglomération de personnes le regardait. Je remerciai les gardes et descendit le rejoindre et dit a la foule:

-Dispersez vous! Il n'y a rien à voir! Regardez hors de la ville et vous aurez quelque chose à voir par contre!

La foule se dirigea vers les escaliers pour monter dans les remparts. Je pris l'homme (de taille de poids raisonnable, heureusement) dans mon bras comme un tonneau et l'apporta de peine et de misère à la place du marcher, qui avais été transformé pour éberger les personnes sous la protection de la ville. Je le couchai dans un lit. Un garde me tapota l'épaule.

-C'est vous qui avez emmené c'est gens d'Éronoh?

Il me pointa les deux charrettes et la petite population du village voisin. Je lui dis oui en lui montrant mon contrat.

-Ils sont entré par la porte de derrière juste avant qu'on la barricade elle aussi. Ajouta-t-il
-Ha… Tant mieux...
-Voila la somme promise.

Il me donna 15 pièces. Je me pris une chaise et m'assis a coter de l'homme blessé. Je ne sais pas trop pourquoi, mais se type m'intriguait. Je m'étirai et remarqua soudain que je n'avais pas dormi depuis deux nuits d'affiler. Je m'endormi malgré mon envie d'en savoir plus sur l’étranger.
________________________________________________________
j'ai 15 pièces

Je me réveille après un sommeil de durée indéfini. Tout ce dont j'ai souvenir, c'est des rêves agités, constitués d'ombres et de ténèbres, de secrets et de malveillance, agrémentés de hurlements terrifiants.... Ma vision est trouble, mais je ne tarde pas à récupérer tous mes sens. Par réflexe, je tends mon bras gauche devant moi : un bandage recouvre tout l'avant-bras et la main, seuls dépassent le bout de mes doigts, la peau est un peu écorchée, mais ça ne me fait pas trop mal : je ressens surtout un picotement désagréable dans la paume de la main, là où de petites taches sombres de sang coagulé se sont formées. Je regarde mon environnement avoisinant : je vois plus loin le médecin de la ville, un vieil homme à la barbe longue blanche et, à côté de moi, un homme à la chevelure noire, dormant profondément. J'ignore qui il est, sans doute un voyageur passant par notre ville au mauvais moment. Je me lève précautionneusement afin de rejoindre Andhrimnir le médecin. Après l'avoir salué, je le questionne sur les derniers évènements en lui demandant d'être bref.
- Aerlar! Vous êtes rapide, vu l'état dans de fatigue dans lequel vous étiez, et la vilaine blessure que vous vous êtes faite... Vous voulez savoir ce qui c'est passé? Suite à votre départ en forêt, le maire a rassemblé des équipes de mercenaires, de volontaires et de soldats afin de prévenir les villages avoisinant et les inciter à trouver refuge en ville avec le bétail et les provisions. Lorsque vous êtes apparu à l'extérieur de l'enceinte, une caravane était non loin de vous et le mercenaire qui la guidait - l'homme endormi à proximité de votre lit - s'était rendu compte de votre affrontement et est allé faire diversion avec un animal qui semblait lui appartenir... une souris, que sais-je. Dans tous les cas, Deux gardes ont réussi in extrémis à le hisser sur la muraille par le biais d'une corde. Il vous a ensuite amené ici.
- La bête, qu'en est-il advenu?
- Après s'être écrasée contre le mur dans sa course, elle s'est redressée sur toute sa hauteur et atteignait presque les créneaux. Elle fut repoussée à force de flèches et de lances lancées sur sa tête, même si pratiquement aucune ne lui fit plus qu'une simple égratignure. En parlant de ces créatures, quelques villages ont déjà été confrontés à une bande de deux à trois individus de plus petite taille, mais n'étant pas moins dangereux que celui qui vous a attaqué hier.

Ce que disait le vieux médecin collait avec l'hypothèse que je m'était faite, même si j'aurais voulu qu'il en soit différemment...
Je regarde le curieux homme qui m'a porté jusqu'à ce campement de fortune, et je me rends compte qu'il est sérieusement blessé à un bras, par une sinistre griffure. Je regarde Andhrimnir et je lui demande de bien vouloir s'occuper l'étranger et de le remercier à ma place. Je ne le fais pas moi-même car j'ai un voyage urgent à mener. De nombreux nuages étouffent les rayons du soleil, encore faibles, du matin. Je me dirige en courant chez le maire, car je vais lui annoncer que je pars pour deux à trois jours afin de me renseigner dans la bibliothèque de Lumbridge. Je n'aurai pas besoin de lui décrire le monstre, je pense bien qu'il est au courant.
- Vous partez encore! J'imagine que je ne peux rien faire, vous n'en ferez qu'à votre tête, comme d'habitude!... Nous avons besoin de vous ici, revenez entier, et évitez de refaire le numéro d'hier.

On voyait sur son visage qu'il n'avait pas dormi de la nuit. Après lui avoir dit au revoir, je suis allé chez moi afin de préparer mes affaires et je me suis rendu à l'écurie afin de chercher mon cheval et compagnon : Sleipnir.
Deux heures plus tard, je suis déjà sur la route, la peur au ventre.

Une créature semblable à un loup géant, possédant un cuir extrêmement dur à la place de la fourrure, des yeux noirs, brillant rouge dans l'obscurité. Je n'aurais jamais pensé qu'ils puissent encore exister, ils faisaient partie du mythe, pourtant... Ces monstres malfaisants, démons d'une nature corrompue... Les noms de la ville et la forêt qui l'entoure prennent tout leur sens... Ceux que les récits lointains et brumeux décrivent sont les S... Un hurlement, au loin, me tire de mes réflexions. Si ce que je pense s'avère être juste, je dois quitter la forêt à tout prix.

Le lendemain matin...

Il n'y a aucun emploi pour un mercenaire de mon rang. Je décide de quitter la ville en direction de lumbridge. J'attelle mon cheval et je quitta la ville tranquillement mais surement...

Rien à signaler pendant les 3 heures de voyages...

J'arrive maintenant à lumbridge, une des villes les plus fortifier que je connais... Arriver à la porte, le garde m'arrête et me pose les questions habituelles et me laisse entrer.

Je retrouve une ville plein de vie et avec plein d'activité... Je recommence alors ma recherche d'un boulot...

Je vit encore plein d'affiche de travaille pourrit... On dirais que tout les bon emploi sont déjà pris... Je cherche encore une demi-journée mais toujours rien...

Je m'assoie sur le bord d'une rue pour regarder les habitants passé (vue que j'ai rien d'autre a faire...) J'étais assis la depuis 15 minute quand quelqu'un arrive et me regarde...

Gryz : Bonjour... vous voulez?
Inconnu : Bonjour... Etes-vous par hasard un mercenaire?
Gryz : Ouais... Pourquoi?
Inconnu: je recherche des mercenaire pour se rendre à Kolmyrkur, la ville voisine... Il y a des loups qui attaquent tout ce qui bouge aux alentour de la ville... Nous avons besoin de tout l'aide necessaire... Toute la population commencent à paniquer!
Gryz : Des loups... tout sa pour des loups
Messager : ce ne sont pas des loups ordinaire mais on les appelles ainsi...
Gryz: Et sa paye?
Messager: 40 pieces d'or... Payer par le maire...
Gryz : 40 pieces... mouais... c'est mieux qu'un coup de hache dans la jambe... Payer par le maire en plus... Mouais.... j'accepte. Je part immédiatement!
Messager : Je vous remercie infiniment!
Gryz : Ouais ouais... Les seuls remerciment que j'accepte c'est le pieces d'or... aurevoir messager...

Je me leve et je quitte finalement la ville... Je prend Charlie et part en direction de Kolmyrkur...

Au loin, du bruit, des hurlements, un vacarme assourdissant... je me réveille. Ma vue est trouble, mais j'entends parfaitement. Quelques oiseaux chantent, le soleil m'éblouit.
Ma vision se clarifie, mais il ne m'apparait qu'un mirage : des murailles, des tours, et tout un village se dresse devant mes yeux. Comment est ce possible ? Je ne me souviens de rien, mais tout mon corps me fait mal, et ma dernière position était à plus d'une heure d'une ville. Alors que j'essaye de me lever, je trébuche, ou suis je ? Des branches ? Des branches, je suis sur un arbre, et dans quelque chose qui pourrait ressembler à un nid d'oiseau, mais là... le nid est immense ! De la taille d'un homme, je ne comprends pas. Je ne porte aucune cicatrise sur mon corps, je ne comprends rien, je me rappelle vaguement d'un combat. Le Chaos ? Se pourrait il que ce nid... A coté de moi, mon épée, mais il y a autre chose, ce sur quoi j'ai trébucher : un cor.

Il est constitué d'une matière blanche qui m'est inconnue, dessus des gravures représente un étrange animal, dont je reconnais la partie supérieur, qui est celle d'un aigle, mais le reste du corps m'est plus inconnue. On dirait celle d'un d'un chat, en beaucoup plus gros. Je sens une légère présence de magie dans l'objet, mais je ne peux dire si c'est maléfique ou pas. Je rassemble mes affaires, et prend cet objet qui m'intrigue.

Alors que je décent, je me rappelle, des loups m'ont attaqués. Ils n'étaient pas normaux, et ils m'ont grièvement blessé, pourtant ma jambe est intacte. Un mauvais rêve ? J'en doute, comment expliquer ce nid ? Mais dépêchons avant que la créature ne revienne.
Je reprends la route, troublé de cet mésaventure, et alors que je me retourne, le nid a disparu. De la magie ? Ici ? Je ne sens pourtant rien, mais c'est possible. Peu importe, voyons voir de quel ville il s'agit.

Je suis donc a Eramdad. Les gardes me demandent aussi de laisser mes armes ici si je désire entrer. C'est hors de question, je vais attendre la nuit. En attendant, je vais chercher l'endroit ou la muraille est le moins surveillé.

Il y a des gardes partout, une véritable forteresse, mais j'ai enfin trouvé un endroit où il n'y qu'un seul homme. La muraille y est plus haute, mais ca n'est pas un problème.
Je plante mon épée dans le sol, et chuchote:
- "Thalui"
Une seconde plus tard, la rune s'illumine de vert et quelques dizaines de tiges de ronces surgissent du sol. Marchant sur chacune d'elle sans qu'elle ne me blesse, elles forment un escalier me menant vers la muraille. Le garde m'aperçoit, mais c'est déjà trop tard pour lui, une ronce l'immobilise alors qu'une autre lui sert le cou jusqu'à ce qu'il perde connaissance. Je suis de l'autre côté.
Tachons de trouver de quoi payer un mage, ou de la poudre., les deux me vont.

Un homme me regarde... Il a la tête cachée dans un capuchon... il tend des doigt squelettique... Il murmure... il touche mon anneau... le feu... mort... destruction... tout devient...

-Hep! Vous allez bien?

Je sursautai dans mon sommeil. Ma main se tendit vers mon anneau et l'autre vers mon épée, mais en essayant de la tirer je me causai une douleur effroyable au bras et ma chaise bascula vers l'arrière, mais l'homme qui m'a parlé me pris par les épaules et m'empêcha de tomber.

-Vous ne devriez pas utiliser votre bras vu son sal état.

Je regardai mon bras, Le bandage était imbiber de sang, si bien qu'on voyait les blessures comme si elle était a nue. Je marmonnai des excuses en me levant. Skippy était sur mon épaule. Je ne l'avais pas vu avant.

-Ce n'est pas à moi que tu dois t'excuser, mais a toi. Rassit toi que je change ce bandage.

L'homme à la barbe blanche, sans doute un médecin, changea le bandage que je m'étais fait pour m'en faire un plus solide, épais, confortable et étanche. Il me fit une autre attelle aussi.

-C'est l’homme que vous avez aidé tout a l'heure qui m’a demander de vous soigner. Aerlar... un type bien... Il est justement partit a Lumbridge voir la bibliothèque.
-En espérant que le bibliothécaire n'a pas vendu a Avarrokca le livre qu'il veut....
-quoi?
-Rien... Rien... Merci pour tout! J'ai assé trainer ici, ce n'est pas ma guerre. Je vais peut-être revenir si j’entends dire que la situation se désagrège, mais j'ai quelque chose à faire à Avarocka
-Salut a vous
-au plaisir de se revoir, vieil homme.

Sur ces mots je sortis de la ville. Les portes étant temporairement ouvertes, se croyant à l’abri pour le moment, je pus sortir. J'avais déjà fait une bonne partie du voyage sous la diligence, mais il me restait encore assez de voyage pour durer jusqu'à demain midi. J'arriverai bientôt à la capitale des hommes.

J'arrive finalement aux portes de Lumbridge, en fin d'après-midi. Le temps a été nuageux, et la route ne fut pas facile. Heureusement, Sleipnir et moi n'avons été confrontés à aucun danger. Sur la route, j'ai même croisé un mercenaire qui disait se rendre à Kolmyrkur, ma ville. Pauvre fou... s'il savait au moins le danger qu'il court! Je lui ai conseillé de se méfier dans la forêt, les créatures y sont maitresses. J'espère qu'il saura en tenir compte.

Lorsque je m'apprêtais à pénétrer les enceintes de la ville, des gardes m'ont retenu pour un interrogatoire qui semble quotidien aux étrangers de la région. Une fois rentré, je n'ai pas de temps à perdre : je me dirige tout de suite vers la grande bibliothèque en pierre de cette imposante ville. Après une demi-heure de marche environs, j'entre dans le hall de l'édifice massif, je me dirige vers un bibliothécaire.
- Mon bon monsieur, que puis-je pour vous?
- J'aimerais... J'aimerais que vous me conduisiez dans le rayon des mythes, j'ai besoin de livres sur... sur les Hvedrungides.

Le vieil homme dû tendre l'oreille pour m'entendre, et il me dévisagea longuement une fois que j'eus achevé ma phrase.
- Pourquoi faites-vous des recherches sur ça?
- Parce que... en fait, il est préférable que je garde mes raisons secrètes, mais sachez que de nombreuses personnes sont en danger, et actuellement je suis le seul qui puisse les aider.

Le bibliothécaire doutait, on lisait dans ses yeux une crainte à laisser quelqu'un approcher ce rayon. Il était enfui dans les bas-fonds de la bibliothèque, là où de très nombreux mystères et secrets reposent paisiblement dans l'ombre inquiétante de ces caves méconnues de la plupart des gens.
- Je refuse de vous laisser consulter ces livres sans être surveillé. La condition que je vous pose est d'être escorté par un garde. Les caves de la bibliothèque sont trop désertes, n'importe qui peut y faire ce qu'il veut.
- J'accepte. J'aimerai aussi avoir une pièce pour la nuit, mes recherches risquent de me prendre un jour ou deux.
- Vous devrez payer dix pièces d'or pour vous voir accordé une chambre.

Une fois la somme payée, j'ai dû attendre quelques instants qu'un garde trapu en cuirasse, armé d'une hallebarde et d'une épée vienne accomplir sa tâche, puis le bibliothécaire m'a guidé dans les tréfonds sinistres du grand bâtiment.

Je lis, je lis... mais je ne trouve rien. On ne voit que le nom "Hvedrungide"¹ de temps à autre, avec de vagues descriptions sur ce à quoi ressemblent ces créatures. Un Hvedrungide est un corps habité par un mauvais esprit, corrompu par la magie noire ou tout simplement créé dans le néant par des forces inconnues... en bref, c'est un être qui ne vient pas de ce monde, qui n'appartient pas au bestiaire naturel et qui, de plus, faisait partie d'un lointain passé. Les livres mentionnant les batailles entre Hvedrungides et êtres naturels remontent à la naissance des civilisations... Tout à coup, je tombe sur une liste, qui semble avoir été faite à la hâte il y a longtemps, elle est presque illisible :
Hvedrungides :
- Créature canidée : Hati ... *une liste que je n'arrive pas à lire. trop petite et composée en grande partie de symboles que je ne connais pas*.
- Créature volatile : Garuda... semblable à un aigle aux yeux rouges sanguin...
- Créature ... : Nidhö.... ...
- ....
En bas de la liste, des notes écrites en patte de mouche :
Il existe d'autres êtres qui apparaissent... ... Le Sköll ², semblable à un Hati sans fourrure, géant, cuir épais, long museau fin... Une fois alignés à Véga... 28'.... ans... CRÉPUSCULE!...

Les ombres qui m'entouraient me pesaient. La nuit était tombée et mon esprit commençait à comprendre. Mes craintes s'étaient avérées justes, j'aurais tellement souhaité le contraire! Le nom de Kolmyrkur et de Halvalysing - la forêt qui entoure la ville et qui s'étend jusqu'aux pieds des montagnes - prennent tout leur sens et je les lie maintenant à des lieux qui me semblaient invraisemblables auparavant, dans les récits légendaires... Je dois trouver un moyen de venir à bout du Sköll adulte qui hante Kolmyrkur, et vite!
___________
J'ai payé 10 pièces d'or sur les 50 que je possédais. 50 - 10 = 40. ^^

¹ Hverdrungide, nom que j'ai trouvé à partir de Hverdrung. C'est un autre nom pour désigner le dieu scandinave Loki (dieu du feu, de la sournoiserie et, selon l'interprétation, de la méchanceté).
² Sköll est un loup de la mythologie scandinave. Dans les mythes, il poursuit inlassablement le Soleil pour le dévorer, et y parviendra au Ragnarôk (fin des temps). On prononce "Skeulle".

je me dirige tranquillement vers Kolmyrkur.. Le voyage ést relativement tranquille. Je rencontre quelque voyageur qui quitte Kolmyrkur. Il y en a eu un entre autre qui m'a conseillé conseillé de me méfier dans la forêt, les créatures y sont maitresses... Je suis pas sur de comprendre entierement la signification de cette phrase.

Mon voyage ce déroule sans encombre (J'aurais aimer avoir un peu d'action...). Le soir venu, je suis presque rendu à la Kolmykur. Je décide de rentrer dans la ville. Apres une série de Question a n'en plus finir, je finit par rentrer dans la ville. La ville étais relativement calme (c'étais la nuit, donc tout le monde dormait). Je décide alors de me louer une chambre pour la nuit et d'aller voir le maire le lendemain

_______________________________________________________________________________________________

Décompte de mes pieces d'or : 37 pieces d'or - 10 pour la chambre sa donne 27

J'arrivai finalement a Avarrocka en après midi. C'était vraiment la capitale des hommes. Cette ville était plus que tout se que j'avais vu avant. Construite au pied d'une montagne qui s'emblait taillée (se qui était probablement le cas) tellement elle était à pic, elle ne pouvait être contourné. La ville avait la forme d'un demi-cercle. Elle était gigantesque. Tout les bâtiments étaient fait de marbre blanc et inspirait la richesse. Les murs étaient assez épais pour recevoir un jet de catapulte sans subir de dégât. Elle était construite sur trois cartiers, chacun séparé par un mur en demi-cercle plus petit, le premier, le plus prêt de l'extérieur, était le cartier des marchant et des artisans. On peut y trouver tout se qu'on veut. Le deuxième est le cartier résidentiel ou les gens vivent en paix et le troisième domine toute la ville en hauteur et est composer d'un unique bâtiment. Le palais du roi, qui est probablement la plus belle pièce d'art que je n’avais jamais vu. Dehors, Il y a des champs à perte de vue.

J'avais appris tout ça dans un livre, mais la voir en vrai n'avais rien de comparable. J’entrai dans la ville sans problème, ces habitants possédaient une si grande armée et des murs si imprenables, qu'ils ne connaissaient pas la guerre. Personne n'étant assez fou pour les attaqués. Je me dirigeai d'abords vers une auberge pour dormir et manger, parce que je n'avais rien eu depuis le village précédant. J'irai à la bibliothèque le soir, pour être seul avec le bibliothécaire.
_______________________________________
15 - 2 pour le repas - 2 pour la chambre = 11 pièces

La nuit n'a pas été très longue. J'ai dormis sur un toit qui me paraissait assez peu visible. Tôt au matin, je me suis rendu à l'auberge et y est pris un rapide repas chaud et je me rend maintenant à l'hôtel de ville, pour voir si je peux négocier la mort de loups.

Le maire me présente à un marchand. Celui-ci est en fait un maitre d'une guilde marchante. Il m'explique que plusieurs de ses caravanes ont étés attaqués par de sombres créatures, et que maintenant tout commerce entre cette ville et l'extérieur est coupé. D'ailleurs plusieurs autres villages ont signalés le même problème. Cela nuis gravement à ces affaires, et c'est pourquoi il offre 50 pièces d'or à celui qui ramènera une preuve de la mort des3 bêtes. Avant de partir, je lui demande une autorisation de port d'arme dans la ville. Il me prévient en me le donnant,qu'aucuns de ceux qui ont accepté cette missin ne sont revenues.
Donc, cette ville n'est menacé que par 3 loups, surement ceux qui m'ont attaqués.

Avant de sortir de la ville, j'en profite pour passer chez un magicien réputé de la ville :
- Bonjour, excuser moi de vous déranger, mais j'aimerais quelques informations.
- Bonjour à vous, des informations ? Et bien sachez que mon temps est précieux.
- Je n'ai que peu à vous offrir, il ne me reste qu'une pièce d'or.
- Ça ira, de toute façon, je n'ai pour l'instant rien à faire, et bien voyons, à popos de quoi s'agit-il ?
Je lui donne ma dernière pièce d'or, puis je sors le cor et lui tend.
- C'est ceci, je l'ai trouvé dans d'étranges conditions. Je pense que c'est magique.
- Ce dessin, cela ressemble vaguement à un griffon...
- Un griffon ?!
- Oui, je vois que même votre race n'est pas au courant, c'est une immense créature au buste d'aigle et à l'arrière d'un félin. Elles ne sont qu'évoqués dans les légendes humaines, et on dit qu'aucun humains n'en a jamais vues... mais le
s elfes se sont ventées de pouvoir les discuter avec eux. Quand à la matière qui sert de support à la gravure je dirais une corne d'un animal, mais je ne saurais dire lequel. Quoi qu'il en soit, cet objet doit avoir de la valeur, je vous l'achete, vous avez l'air à court de moyens, combien en voulez vous ?
- Je ne préfère pas le vendre merci, pourriez vous plutôt me dire si cet objet possède quelques pouvoirs ?
- Alors c'est comme ca ? Et bien sortez allons ! Je ne vous en direz pas plus si c'est ainsi.

Je n'en saurez donc pas plus pour l'instant.
J'empreinte une porte différente de celle ou je m'étais présenté hier. Les gardes ne disent rien.

La foret est déserte, même les animaux semblent l'avoir fuient. Je quitte la route pour m'enfoncer dans la forêt. Je marche toute la nuit sans ne rien croiser. Je n'ai toujours trouver aucune trace des créatures. Finalement, la nuit tombe. Il se fait tard, je préfere rentrer à la ville. Au bout d'un petit moment, je sens une présence. Enfin, les voilà, elles ont donc attendues la nuit. Elles s'alignent devant moi alors que je sors mon épée. Elles s'élancent vers moi en hurlant. Je marche vers elles.
Pas de surprise cet fois :
- Thalui...
La rune s'illumine et une des bêtes s'arrête net. Sa gorge est transpercé d'une ronce, elle n'a rien vu venir. Plus beaucoup de temps, les loups hésitent, je saisis une autre des créature avec les ronces,. Elle est soulevé en l'air avant de sentir plusieurs piques s'enfoncer lentement dans son corps avant de la tordre en deux.
Il n'en reste plus qu'une, elle est blessée à l'œil.
Je vais m'en occuper moi même. Les ronces s'enfoncent dans la terre.
Il se jette sur moi, la gueule ouverte. Je saute par dessus lui, en frôlant du tranchant de ma lame son échine.
Il se retourne, énervé, et ouvre la gueule pour rugir. Un hurlement strident se fait entendre. Je lance mon épée dans sa direction. Elle vient se planter dans sa gorge grande ouverte. Un dernier couinement. Il est mort.
Je me sers de mon épée comme d'un levier pour séparer son crane en deux et récupère la partie supérieur. Je coupe aussi une oreille à chaqu'une des autres bêtes.

A l'entrée, je présente le mot du maitre marchand et passe sans problème. Je me rend directement à la mairie. Je demande à voir le commerçant, une fois là, je lui montre la moitié de tête et les deux oreilles. Il me remercie, et après avoir vérifié les morceaux de chair, il me tend une bourse bien lourde.
C'est suffisant pour aujourd'hui, je me rend à l'auberge pour me reposer.

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Il me restait 3 pièces, - le repas, - la pièce donné au mage + la bourse = 50 pieces

Le lendemain matin, je me dirige illico chez le mere pour commencer ma quete...

*Cogne à la porte*
j'entre
Le maire : Bonjour, vous voulez?
Gryz: Bonjour, je vient pour valider une demande qu'un de vos messager ma faite...
Le maire : Celui des créature au alentours de la ville? c'est bien sa?
Gryz: Exactement, je peut commencer maintenant?
Le maire: Je ne crois pas non...
Gryz : pourquoi?
Le maire : Un aventurier est arrivé avant vous...je suis désoler...
Gryz: Comment!!! vous vouliez recruté tout les mercenaires disponible pour exterminer des monstres... ET VOUS ME DITES QU'UN SEUL EST ARRIVER ICI ET A FAIT LE BOULOT?
Le maire: calmez vous non de dieu!! et oui, c'est ce qui est arrivé en effet...
Gryz: On a plus rien a se dire... aurevoir.

Je sort de sa maison en claquant la porte et je décide de me calmer en prenant une marche dans les rues....

Un homme à la tête caché par un capuchon... Il murmure... des doigts squelettiques abaisse son capuchon... je peux voir sa tête.

-AAAAAAAAAAAAH!

Je cligne des yeux pour reprendre contact avec la réalité. Je ne comprends pas pourquoi sa tête m'a causé une telle frayeur. En fait je ne me rappelle même pas à quoi elle ressemble. Je me creuse les méninges un moment avant que quelqu'un frappe à ma porte.

-C'es l’heure que vous m'avez demandé de vous réveiller!

Le bibliothécaire... j'avais complètement oublié. Je sors du bâtiment et marche dans les rues bondées d'Avarocka. Même à cette heure, la ville est pleine d'activité. J'arrive en face de la bibliothèque, un bâtiment imposant et aussi riche que le reste de la ville. J'entre à l'intérieur. Comme prévu, il n'y a personne sauf quelques érudits absorbé dans d'immenses grimoires. Le bibliothécaire est en train de ranger des livres.

-Excuser moi. Est-ce que je peux prendre une minute de votre temps?
-Bien sur. Qu’est-ce que vous voulez?
-Vous avez acheté des livres de Lumbridge dernièrement n'est-ce pas? Il y en a un que je voudrais avoir.
-duquel s’agit-il?
-He bien.... heu...

C’est idiot... je ne sais même pas le titre... Je vais aller dans le vague alors.

-ça parle de bijou magique...
-ha... oui... Un très vieux livre... le seul grimoire magique que je lui ai achetée.
-Un grimoire magique? Je l'ignorais... est-ce que je peux le voir?
-Non. Un homme l'a déjà loué.
-quand est-il supposer le rendre?
-il y a 3 mois.
-A quoi ressemblait-il? Je pourrais aller le rechercher
-Il avait un capuchon et je ne pouvais pas voir son visage... par contre... non c'est ridicule... oublier ça.
-oublier quoi? Je suis curieux.
-J'ai vu ses mains pendant une fraction de seconde il ma sembler, c'est ridicule, je sais, qu'elles n'était fait qu'avec des os. J'ai surement halluciné.

Je le regardai bouche bée. Un rêve ne peut-être réalité. Il devait avoir halluciné. Je n'ai plus aucune piste maintenant. De toute façon, avec mon bras, je ne suis pas en état de continuer mon aventure.

Ces derniers jours ont été consacrés à des recherches sur les Skölls. Malgré la quantité de livres feuilletés, je n'ai trouvé aucune information majeure : les textes relatent surtout les combats, mais pas le dénouement de ceux-ci. Les anciens ont essayé d'enflammer des Hvedrungides avec de la poix collante, mais le feu n'a causé aucun dommage, cela les rendrait même plus furieux et effrayants, tels des démons de flammes et de griffes. La seule méthode valable que j'ai trouvé, c'est les catapultes : un Sköll a ainsi été bombardé de pierres, jusqu'à ce que ses os se brisent sous son terrible cuir. Cela a aussi causé de très lourdes pertes matérielles et humaines, ma ville ne peut pas se permettre un tel gâchis.

Je suis fatigué, mes repas ont été frugaux et mes heures de sommeil limitées. Plongé dans mes lectures, j'ai soudain une idée totalement fantaisiste et précipitée : l'alchimie!
Je sors de ma chambre : l'extérieur est plongé dans l'obscurité, comme toujours dans les caves de la bibliothèque. Le garde qui m'a surveillé ces derniers deux jours est en train de dormir, mais je le réveille pour lui dire que je vais remonter et qu'il pourra renter chez lui. Bien que grincheux au début, il sembla soulagé par la nouvelle. Je me précipite dans la cage d'escaliers ; j'arrive dans le magnifique hall éclairé par de doux rayons traversant les fenêtres et je vais parler au bibliothécaire, qui est déjà debout derrière son bureau.
- J'en ai fini avec le rayon des mythes de la réserve. Je vais prendre quelques livres d'alchimie élémentaire à présent, j'en aurai fini d'ici vers midi. Ai-je besoin de remettre tous les libres que j'ai emprunté à leur place?
- Ah! (Le bibliothécaire semblait soulagé de me voir sortir du sous-sol pour de bon) Non, laissez tout, je m'en charge. Les livres sur l'alchimie élémentaire sont dans l'aile gauche, c'est le 15^ème rayon.
- Merci bien! Je vais chercher quelque chose à manger au dehors, je reviens bientôt.

Je me précipite prendre l'air frais, pour la première fois depuis 72 heures, je ne pouvais m'empêcher de sourire à voir le soleil se lever et la fraicheur envahir mes poumons. Je commence à déambuler dans la ville, je m'arrête tantôt pour acheter du pain, du fromage et divers autres aliments. Une demi-heure après, je suis de retour à la bibliothèque le ventre plein.
Sans détacher mon regard de mon objectif, je me dirige droit vers le quinzième rayon, et je commence à épier les livres. Je me souviens de l'un d'entre eux, qui m'avait beaucoup plu 7 ans auparavant, lorsque j'ai commencé à m'intéresser à l'alchimie. Il détient, je le sais, le secret pour venir à bout des Skölls. Si leur cuir est aussi solide face aux attaques externes, il ne pourra rien faire contre les attaques internes!
_________________________
J'avais 40 pièces d'or, j'en ai dépensé 8 pour la nourriture : 40 - 8 = 32.