RP Médiéval Fantastiques

Je me rend au temple de Bérosse, dans le pays de Greenpath. C'est le plus gros temple vénérant le dieu de la nature. Je veux visiter le temple dont les elfes mon temps parlaient. Après plusieurs heures de marche, j'arrive finalement au temple qui était assez loin dissimulé dans la forêt. Le temple était moins gros que ce à quoi je m'attendais. Je décide alors de regarder les agissements des personnages présents dans le temple en me dissimulant un peu plus loin dans la foret dans un arbre.

Je suis dans un petit village dans le royaume de Greenpath depuis 2 jours à la recherche d'argent, mais les gens ici sont pauvres et ne vivent que d'agriculture. Mais la taverne du coin me donne de quoi me sustenter et je le fais à leur insu.

La nuit est maintenant tombée depuis plus d'une heure et je suis seul debout à passer dans l'ombre des masures. Je passe devant la seule taverne du village et il y a encore de la lumière. Je regarde par la fenêtre et je vois des hommes et des femmes assis aux tables pendant que le tavernier sert le repas du soir. Je décide de faire le tour du bâtiment. En passant sous une fenêtre je m'aperçois que celle-ci est ouverte, je regarde à l'intérieur pour voir s'il y a du monde près de celle-ci. Il n'y a personne. Je réussis à passer à travers la fenêtre. Je reste dans l'ombre et je ne remarque personne qui regarde dans ma direction. Dans un coin je vois un moine qui parle avec un drôle de type, tout de noir vêtu et qui a la tête dans un immense capuchon. Je m'approche d'eux, ma curiosité piquée. Je surprend cette conversation:

Le moine: ... comment c'est possible?

L'étranger: Je ne sais pas, mais il y a sans aucun doute des gens qui veulent que les dieux entrent dans cette guerre folle.

Le moine: J'en doute, des gens qui profane un monastère et y vol des objets de culte, sont maudit à jamais et si personne ne récupère ces objets nous sommes tous fichu.

L'Étranger se lève et se prépare à sortir, alors j'essaie de me glisser dans l'ombre la plus profonde et de le suivre par la sortie. Je me tiens près de la porte, j'ai du faire un vrai détour pour arriver là sans me faire voir ni entendre. L'homme passe la porte, avant qu'elle ne se referme je la passe en coup de vent. Je le vois prendre à gauche vers la sortie du village. J'accélère le pas pour ne pas le perdre. Dès qu'il pénètre dans la forêt je sors ma dague à la ceinture, je lui fonce dessus, je lui donne un coup d'épaule au niveau des reins et nous tombons tout deux. Je suis le premier debout et je m'accroupis sur lui la dague sur son cou. Je lui demandais de quoi il discutait avec le moine et j'appris que le Temple de Bérosse dans la ville de Naryce avait été volé et amputé de quatre objets. Avant de le laisser partir je l'assomme avec le plat de mon arme à la tempe. Je viens de trouver une bonne action à accomplir là ou mes talents me serviront admirablement. Maintenant, trouver la route pour me rendre au temple.

Un peu plus loin dans les bois il y avait une petite masure où un ermite habitait. J'arrive chez lui, aucune lumière ne luit derrière ces fenêtres. Je cogne à la porte de toutes mes forces. Au bout de quelques minutes, une lueur apparaît et la porte s'ouvre sur un petit homme chauve qui me regarde d'un air torve. Je lui demande tout de go par quelle route je dois passer pour me rendre dans la ville de Naryce. Il me dit de continuer sur cette route et que demain sur l'heure du diner je devrais être rendu. Après m'avoir dit ça il me claque sa porte au nez. « T'est chanceux vieillard que je sois de bonne heumeur ou je t'aurais mis en pièce.» Je prends la route et l'ermite avait raison j'arrivais bel et bien à Naryce vers midi. La ville avait des fortifications de pierre et de bois. Je vérifiais que mon œil droit était bien dissimulé et je m'avançais vers un garde à la porte. Je lui demandai où se trouvait le temple de Bérosse, Il me dit de suivre le sentier sur ma droite et de poursuivre à gauche quand je croiserai la route. Je le remerciai et emprunté le sentier. Quelques minutes plus tard je vis la route et je pris à gauche. Le temple en vue je me dissimule à l'ombre des arbres et j'avance aussi silencieux qu'une ombre. Des gens sont déjà dans le temple. « Bon je vais attendre cette nuit pour agir, me trouver un arbre pour dormir se serait bien.» Je trouve un arbre au branche assez grosse pour y monter et y dormir. Je commence à monter, une branche se brise quand je viens mettre mon pied droit dessus, mais j'arrive tout de même à grimper. Je finis par arriver sur une grosse branche et je m'assois dessus et je 'assoupis presque aussitôt.

Je ne remarque même pas qu'un homme, qui lui aussi est dans un arbre, avec une cape verte m'observe.

Apres un moment a regarder les agissements des personnes, je décide de rentrer dans le temple. Je descend de mon arbre en regardant si personne m'avait vue. L'endroit semble desert. Le temple est en pierre sans porte mais avec une grande ouverture avec des colones a l'intérieur un autel dans le fond du temple... En rentrant dans le temple, je remarque des moines qui s'affaire à leur taches quotidienne. Je rentre et je me dirige vers l'autel. Je remarque qu'il manque un petit quelque chose sur l'autel mais je sais pas quoi. D'habitude sur les autels de temple, on met quelque chose de relatif au différend dieux mais ici, rien. Je reste la pensif et je retourne à l'entrée du temple. Je décide a alors d'aller parler a un moine qui est un peut plus loin. Je m'approche du moin et je lui dit bonjour. Il me rendit mon salut. Je lui pose alors une question: Pourquoi les gens que j'ai rencontrer en venant ici semblait si agiter? Es ce que cela est rapport au temple ici?

Je me réveille en sursaut. Je tombe de mon perchoir, mais j'arive à me retenir à une branche juste avant de toucher le sol. Je lâche la branche et je tombe sur mes jambes. Je regarde le ciel et je vois que je n'ai pas dormi bien longtemps.

Je décide d'aller faire un tour dans le temple pour savoir ce qui y est arrivé. Près de l'entrer je vois un homme avec une cape verte qui parle avec un moine. Je ne m'occupe pas de ce qu'ils se disent et je poursuis mon chemin jusqu'à l'autel. Je remarque bien vite qu'il manque un petit quelque chose sur l'autel, je ne sais trop quel objet, mais je sais qu'il en manque au moins un. « Je dois trouver le prêtre dirigeant le temple.» Je finis par le trouver qui discute avec un moine. Je me dirige vers eux. Je tire sur la manche du père. Il se tourne vers moi, l'air très surpris. Je lui demande une odience privé avec lui. Il s'excuse auprès du moine et me demande de le suivre dans ces appartements privé.

Nous passons par une porte derrière une bandrole qui se trouve derrière l'autel. Nous traversons un petit couloir qui mène à trois portes. Nous nous arrêtons à la première, qui se trouve être le réfectoir. Le prêtre demande aux moines cuisiniers de bien vouloir lui emmener du pain, du fromage et de la bière dans sa chambre. Après quelques paroles sacramentiel, nous nous dirigeons vers la porte du fond. Il me fait signe d'entrer et j'entre. Je suis abasourdis de voir que la pièce est richement décoré dans des tons de vert et de brun magnifiquement ouvragé. Dans le coin droit il y a un grand lit, qui m'a l'air très confortable, enfin plus confortable que de dormir sur un arbre. Une fenêtre perse le mur du fond et juste sous celle-ci un bureau si tien et deux personnes peuvent s'y assoir face à face. Sur le bureau repose des tas de papiers et ce qui me surprends le plus, une masse d'arme. Il me fit signe de m'assoir et il s'assit en face de moi. Dès qu'il fut assis je remarquai tout de suite les cernes qu'il avait sous les yeux et son dos courbé par en avant me confirmait qu'il croulait sous un terrible poid, que j'allais peut être, être capable d'alléger.
- Que voulais-tu me demander mon fils?
- J'ai appris par un homme étrange que votre temple avait été victime d'un vol incalifiable et je crois wue je pourrais peut être vous aider.
- Oui, quatre objets se sont fait voler, il y a deux jours. Il me raconte tout ce qu'il sait.
La nourriture arrive sur ces entrefait. Nous mangeâmes et il m'offrit un lit pour dormir et que demain je commencerai à faire des recherches pour trouver une piste me menant aux coupables.

Le temple de Bérosse est en effervescence, des moines de tout rang s'affairent un peu partout pour contenir le flot de curieux et d'aventuriers venant glaner des informations qui risquaient d'infliger de sérieux dégâts au temple.
Les tapis avaient déjà pris une teinte boue, des détritus avaient été jeté par terre, les parties réservées au recueil et a la prière ressemblaient à des places de marcher où les gens parlaient à voix haute, et s'échangeaient des rumeurs...

Avant que midi sonne, l'évêque fit son entrée, se plaçant à l'endroit le plus élevé du temple et réclamât l'attention du peuple.

"Mes frères, pour l'amour des Dieux cessez cette folie!"

Le silence se fit

"Regardez ce que vous avez fait! Vous avez fait de ce temple, ce lieux de prière et de recueillement, un vaste foutoir! Je vous en prie, quittez cet endroit afin que nous puissions lui rendre sa beauté et surtout sa propreté!"

C'est sur un silence honteux, que les moines, aidés d'une dizaine de paladins, firent sortir le monde du temple


Gryz s'est fait sortir du temple sans avoir de réponses a ses questions, Tsareck a échappé aux filet des paladins grâce a sa demande d'entretien. Les premiers indices lui seront révélés par MP après a lui de décider s'il les partages lors d'un rp... ou pas... Bon courage

Alors que je tente de glaner des informations après des moines du temple, un homme dont les vêtements indiquent une haute position au sein du temple se plaçe dans une haute alcôve et prend la parole :

"Mes frères, pour l'amour des Dieux cessez cette folie!"

Le silence s’installe

"Regardez ce que vous avez fait! Vous avez fait de ce temple, ce lieux de prière et de recueillement, un vaste foutoir! Je vous en prie, quittez cet endroit afin que nous puissions lui rendre sa beauté et surtout sa propreté!"

A la fin de son monologue, les paladins présents se mettent a jeter les gens dehors… moi y comprit. Après une vaine tentative de défense, je me retrouve sur le dos a l’entrée du temple sans vraiment comprendre ce qui s’est passé. Me relevant tant bien que mal je décide de repartir en direction de la ville la plus proche en empruntant les chemins forestier, les routes à couvert étant plus sûres que les routes principales. Après quelques heures de marche, j'arrive finalement dans une ville dont je ne connais absolument pas le nom. N'ayant ''pas un sous'' sur moi, je décide de mettre a profit mes talents furtifs pour tenter de récupérer quelques pièces afin de pouvoir calmer mon estomac hurlant et peut être d’étancher ma soif. Avisant un attroupement de gueux je me dirige vers ce qui ressemble a leur grande place . Un montreur d’ours occupe suffisamment les personnes présentes pour que je puisse effectuer ma basse besogne. Malheureusement les poches sont presque vide et mon butin ne m’emmènera pas loin : 5 pièces de bronze… pas de quoi s’offrir un verre vin.
Penaud, je décide, en désespoir de cause, de piocher dans ma réserve de pièce d’or et de m’offrir un bon repas dans la taverne du village. J’en profiterai pour questionner les personnes présentes sur ce qu’il s’est passé au temple.

Le soleil étant encore bien haut, la taverne est presque vide. Seuls un homme rachitique et un sac à vin discutent dans un coin du taudis. Je m’assois au comptoir et commande une salade. Le tavernier me lance un drole regard et s'en va préparer ma commande. Pendant mon attente j’observe plus précisément les deux hommes. Habillés comme des paysans, sales, l’un prêt a rouler sous la table l’autre a se casser en deux… Bref, aucune menace. Le tavernier pose plutôt violemment mon assiette devant moi, coupant court a mes stratégie de « défense au cas où ».

« ça fera 2 pièce d’or messire »

Manquant de m’étouffer avec ma propre salive je lui répond :

« Elle a intérêt a être bonne votre salade pour 2 pièces d’or ! »

« on fait c’qu’on peut mon jeune seigneur »

Bon gré malgré je jette ses deniers sur le comptoir avisant la touffe d’herbe que contient mon assiette. Elle n’a pas l’air très comestible. Mais autre chose me trotte dans la tête pour y prêter vraiment attention. Je lève mon regard sur le tavernier, il a l’air d’attendre quelque chose… Que je mange peut être, mais je préfère le questionner et ainsi repousser le moment fatidique de mettre cette chose dans ma bouche.

« Dites moi mon brave, savez vous quelque chose sur le temple de Bérosse? Que c'est t-il passé récemment la bas pour qu’il y ait eu une telle agitation ? »

Pom pom pi doum, pom pom pi doum... tiens un type allongé ?... pom pom pi doum... bah peu importe… pom pom pi doum… ah mais à sa ceinture, sous sa veste… ouaip, voilà bien une bourse qui me semble bien pleine… en plus à son cou, la croix de Jésus, voilà une âme charitable donc, il ne peut me refuser cela.


Je m’approche de lui avec la main sortie pour attraper la bourse, quand tous d’un coup … je trébuche, mon pied a heurté une grosse pierre, dans ma chute je lui enfonce accidentellement mon genou dans ses cotes, ce qui fait entendre un bruit sec, comme une cassure, mais qui surtout le réveille. Dans la confusion, je m’empare de sa bourse que je cache dans mon sac, avant de rapidement me relever.


- Qui... qui êtes-vous ?
- Un simple paysan passant par là.
Il essaye de se relever, mais s’écroule
- Aah, ma tête… et mes côtes aussi, certaines sont brisés je crois… qu’est ce qui m’est arrivé ?.. Et que faisiez-vous sur moi ?
- Heu… je ne sais pas… surement un brigand qui vous a dépouillé, quant à moi je ne voulais que vous voir si vous alliez bien, mais j’ai trébuché.
-Je vois, mais… attendez …
Il met la main à sa ceinture.
- Ma bourse !! Oh voleur !! On m’a dépouillé !!
- Calmez-vous, calmez-vous, je suis sure qu’on peut la retrouver cette bourse… dites-moi ce qui s’est passé ?
- Eh bien, je n’ai pas trop compris, il a surgi de nulle part, ma plaqué au sol, et m’a posé des questions à propos de … le Temple de Bérosse !! Il doit surement ce rendre la bas… Est-ce que vous pourriez me rendre un service s’il vous plait ? Je demanderais à la garde de vous récompenser pour ça.
- Mais bien sûr, comment refuser de l’aide à une personne en difficulté ?
- Voilà, rendez-vous jusqu’à la tour de guet de la ville, là, vous leur donnerez ce papier ou je vais faire une bref description de mon ravisseur, ils transmettront ca ensuite à la garde de la ville de Naryce. Le capitaine de celle-ci est un ami, il fera ça pour moi.
Ce sale voleur ne s’est pas à qui il s’en est pris !
Il prend un parchemin sur lequel il commence à écrire.
- Hum… Et moi ?..
- Oh oui bien sûr, à la tour, ils reconnaitront ma signature à la tour, et vous donnerons surement un petit quelque chose.
Il me tend la feuille
-Bon et bien des que j’ai fait cela, je reviendrais vous chercher d’accord ?
-Oui merci beaucoup, mais dépêchez-vous !

Je prends la route en direction du village.
Une fois hors de vue, je sors la bourse est compté les pièces, jusqu’à me rappeler… que je ne sais pas compter…
Ennuyé par cela, je sors le parchemin que l’homme m’a remis et commence à le lire mais… oui c’est vrai, je ne sais pas lire non plus…

M’y voilà, une fois remis le mot aux gardes, un d’eux le lit rapidement, semble tout d’un coup alerter, me remercies et me donne rapidement 2 pièces d’or.

Bon allons voir cette ville de Naryce, elle semble intéressante.
En milieu de chemin, je me rappelle que j’ai oublié de repartir chercher le Monsieur… bah tant pis, il n’auras qu’a ramper jusqu’au village !..

(J’avais 3 pièces d’or initialement, la bourse en contenant 20, le garde m’en a donné 2, mais comme j’ai tout mit dans mes poches et que celles-ci sont troués, j’ai perdu 1 pièce d’or = 24)

(J'ai modifié la fin de mon dernier post et pour plus de précision sur l'histoire du temple j'attendrai que vous soyez rendu à ce stade.)

Nous commencions à manger quande la porte s'ouvris et deux hommes lourdement équipé firent leur entré. Ils échangèrent un regard et l'un d'eux me prit par le collet de mon armure et me jeta dehors. Je m'épousetai comme je pu et je décidai d'aller en ville. Je passe sous le couvert des arbres. J'arrive quelques heures plus tard en ville.

Je vois au centre de la place qu'il y a un montreur d'ours à l'oeuvre et il y a une petite foule qui ce s'est déjà rassemblé devant. Je me cache dans l'ombre d'une maison et j'observe attentivement la foule pour voir lequel d'entre eux à l'air riche. Après un examen sommaire je m'aperçois qu'il n'y a que le montreur qui semble avoir de l'argent. Je me dirige donc vers la place des marchands ambulant, mais je remarque que leurs stands semblent bien vide. Il y a bien des stands de marchand. Je remarque un homme de grande taille avec une épée à deux mains dans le dos qui est en train de parler au marchand de fruit. Je m'approche d'un pas décontracté et je regarde à sa ceinture s'il n'y aurait pas une bourse à prendre. Oui, il y en a une et elle semble bien rempli. Je daigaine une dague, que je garde replié sous mon bras. Quand je suis suffisament près je donne un coup de poignet et je coupe la corde, la bourse tombe à terre, mais je ralentis sa chute avec ma botte. Je m'accroupis pour mettre la bourse sous mon armure et je continu ma route. Aucun des deux n'a eu conscience que j'étais passé.

Je me dirige vers une taverne sans un regard en arrière, j'entends un type gueuler "Au voleur, on ma détroussé. Avant d'entrer je vais sur le côté, à l'ombre et là je sors la bourse et je regarde combien elle contient. «Chouette 15 pièces d'or. Une vrai petite fortune pour moi.» Je recache la bourse, mais je prends au préalable 10 pièces d'or pour faire un bon repas. J'entre dans la taverne. Dans un coin du taudis, un homme rachitique et un sac à vin discutent. Au comptoir un homme à la cape verte discute avec le tenancier. Je m'assois près du type au copmtoir qui n'a pas encore touché à sa salade.
- Pardonnez moi messieur, mais je voudrais un repas pour 10 pièces d'or monsieur.
Il écarquille les yeux, car il a l'air surpris que quelqu'un lui pose une telle question. Il me prépare un petit steak, qui ne semble pas avoir bien de la viande dessus, on dirait de la viande d'écureuil. et me donne un verre de vin. Je lui remets mes pièces d'or. Le steak est sec et difficile à manger et le verre de vin est un peu coupé d'eau, mais je mange tout de même bien.

( Je n'avais aucune pièce, la bourse contenait 15 pièces d'or et j'en ai dépensé 10, il m'en resteque 5. )

Je vois entrer dans la taverne ce qui me semble un guerrier. Il me vient alors une idée...

J'attire son attention subtilement et je lui fais comprendre que s'il fait le guet dehors, je pourrais faire un massacre dans la taverne et lui donner la moitié de ce que je vais obtenir. Le guerrier acquiesce et se lève pour aller faire le guet.

Pendant ce temps, j'examine les personnes qui se trouve dans la taverne. Le maigrichon n'a pas l'air très futé et l'homme bourré est trop bourré pour se défendre. J'examine la pièce. La cuisine se trouve de l'autre coté de cette pièce. Si le tavernier entend un bruit, il va sortir assez rapidement de sa cuisine. L'homme maigrichon se trouve justement près de la porte de la cuisine. J'ai un plan.

Je me lève et je me dirige vers le maigrichon. Je sorts ma dague au dernier moment et lui coupe la gorge d'un coup sec. Son corps maintenant inerte tombe par terre, mais j'ai le temps de le retenir avant qu'il ne fasse trop de bruit. L'homme bourré un peu plus loin se met a crier (comme je l'avais prévu). Le tavernier sort de sa cuisine, mais comme je me tiens à côté de la porte, je lui donne un coup de coude dans le visage. Le sang gicle de son nez. Je prends mon couteau et lui plante dans le cœur le plus rapidement que je peux, car l'ivrogne s'en venait vers moi. L'ivrogne casse sa bouteille sur le comptoir et tente de me la lancer. Je l'évite de justesse et je cours vers lui. Je lui donne un coup de fourreau de mon Katana dans le ventre. L'homme est maintenant plié en deux. Je plante ma dague dans sa nuque et il lâche son dernier souffle avant de tomber par terre. Je fouille les poches de l'ivrogne. Il a 6 pièces de Bronzes. Ensuite, je vais vers le comptoir pour fouiller les poches du maigrichon. Il a 2 pièces d'argent et 4 pièces de bronze. Je décide alors de me servir dans la caisse de la taverne. Il y avais 4 pièces d'or. Un jolie petit butin tout sa...

Je décide d'aller faire mon tour dans la cuisine pour regarder si quelque chose m'intéresserait. Rien de vraiment utile pour moi. Je me dirige vers l'entrée et je fais signe au guerrier d'entrer dans la taverne. Il entre et je lui donne 5 Pièces de Bronzes ,1 Pièce d'argent et 2 Pièces d'or. Je lui dis alors avant de sortir de la taverne:

Si on te pose des questions, tu ne m'as jamais vu, oublie moi...

Je sors de la taverne et je me dirige hors de la ville. Aux portes, il y a des gardes. Je les salue en sortant et je me dirige vers la foret. Après une bonne demi-heures de marche, je décide de me reposer. Grâce au savoir elfe, je suis capable de me dissimuler dans la nature quand je dors. Je me fais un abris et me blotti dedans pour me reposer en prévision de la journée de demain.

Enfin! Je suis en file pour recevoir ma première paye. 4 ans d'entraînement intensif viens de se terminé sur ça! dit donc... la files est longue... plus que deux... je tend la main le sourire au lèvre

-Tiens... un nouveau sa va faire 3 pièce d'or...

Le sourire disparaît immédiatement de mon visage pendant que je regarde les 3 pièces avec dégoût. Je me dit en haussant des épaules que je devais m'attendre a ça pour ma première paye. De toute façon mon régiment par demain pour la ville de Naryce. Une histoire d'artéfact... On est pas vraiment mis au courant nous autre. Par nous autre, je parle des 20 soldats qui forment notre régiment bien sur. Tous des types que j'ai rencontré cette semaine, ils ont pas l'air très commodes, mais j'imagine que je ne doit pas avoir l'air très commode moi non plus. Tout le monde en uniforme et armée d'une épée et de 4 ans d'entraînement qui te regarde avec un air d'esclave sous-payer n'ont pas l'air commodes, en parlant de commodes mes parent en avait une belle dans leurs maisons, c'était a coter du foyer et le feu faisait de jolie reflet dans son bois lustré... Elle a passer au feu cette commode... J'avais bien rit ce jour la! Je venais de jeter l'eau du bain quand la commode a pris feu, la moitié du village a été mobilisé pour l'éteindre. Elle a emporté avec elle le trois quart de la maison. En fait ce n'est pas drôle du tout, c'est à cause de ça que mes parent on déménager dans le village où ils se sont fait assassiner... Mais je m'égare. Ou en étai-je? Ha oui 20 types pas commodes. Vous pourriez me dire que 20 se n'est pas des tas pour un régiment, mais nous n'allons pas au front, on fait des intervention qui demande moins de baston et plus de parlote, c'est pas toujours palpitant, mais peut-être aussi que j'ai eu une mauvaise semaine... je dit 20 soldat pas commodes qui parle sans mettre de baffe au lieu d'aller au front comme des homme et qui s'ennuie un peu, mais il y a aussi un Commandant, un type vraiment pas commode, ses parents devait le maltraiter quand il était jeune ou il a eu un problème avec des animaux. On dirait qu'il ne sait pas parler seulement crié. HÉ LE NOUVEAU, EN LIGNE COMME LES AUTRES! HÉ LE NOUVEAU, ENCORE EN TRAIN DE RÈVASSER! HÉ LE NOUVEAU, RAMASSENT TES CHAUSETTES. Un vrai fou.

''HÉ LE NOUVEAU, ON ME SALUT QUAND ON ME CROISENT DANS LE COULOIRS!!!''

Est-ce qu'il me parlait? En tout cas, demain je part pour ma première mission longue avec 19 Soldat pas commodes sous-payer qui parle sans mettre de baffe au lieu d'aller au front comme des homme et qui s'ennuie un peu avec un général fou qui a été maltraiter à sa naissance par ses parent ou des anim...

*PAF*

A force de rêvasser je me suis cogné le front sur la porte de mon dortoir. Un peu étourdit je tourne la poigner et entre a l'intérieur. Mes 19 compagnons son en train de se marrer sur leurs lit, l'un d'un arrive a retrouver son souffle.

Tu sais c’est quoi une poigner ??''

Tout en les ignorant je partis me coucher sur mon lit.

C’est le lendemain d'hier... ou le aujourd'hui de demain... non, le aujourd'hui de demain c'est demain et je ne suis pas demain. Peut-être que oui! Demain je vais être la alors le aujourd'hui de demain j’y suis déjà, mais pas moi, c'est un espèce de moi du futur... attend un peu. Sa veut dire qu’ils y a un moi de chaque seconde et que sa se déroule tout en même temps… Je devrais écrire un message a mon moi de la prochaine seconde!... ça ne fait pas de sens se que je dit la... Disons que j'arrive a la ville de Naryce et que c'est l'après midi. Le voyage a été pénible, même si je ne me souviens pas de grand chose, étant la plupart du temps perdu dans mes pensée. À cause de ça j'ai une saleté de mal de tête. Je crois que j'ai révisé le livre ''animaux de forêts, volume 3'' au complet. Toute une brique. Ha non! Taloche pauvre benêt ! J’ai oublié le chapitre sur l'écureuil. Voyons voir. L'écureuil est un rongeur de la famille des...

''Regarde, le temple de Bérosse!

C’est le soldat qui marche à gauche de moi qui me dit ça. Le Commandant cogne à la vaste porte fermée. Un paladin ouvre et nous regarde d'un air surpris. Il n'a pas le temps d'ouvrir la bouche qu'il est bousculer par un prêtre habiller richement. Sûrement le chef du Temple.

-Qui c'est? HA NON! D’abord des paysan curieux, ensuite des aventurier, des gens douteux, des mercenaires et maintenant des Soldats!?! Allez vous en on remet de l'ordre en dedans!

Le commandant répond par :

-Je suis venu ici sous les ordres du roi pour retrouver les trois artéfacts perdu. Si vous ne nous laisser pas entrer...
-Vous aller faire quoi? Entré par la force? Brûler le Temple? Ça va vous aider ça
-Tout se qu'on vous demande, c'est de nous dire se que vous savez sur les artéfact et comment il on été perdu.
-Très bien... Entre... Mais les autres reste dehors!
-D'accord, MONTEZ LE CAMPEMENT ET ENSUITE VOUS POUVEZ ALLER FAIRE LE TOUR DES AUBERGE!

Après avoir monter le campement de 6 tentes et manger un morceau, je part me coucher parce que ma journée ma rentré dans le corps comme un mur de brique. en parlant de mur de brique, il y en a un beau qui défend cette ville, bien que la brique ressemble plus a de la roche et que qu'il y a du bois qui le renforce. Je me demande comment c'est gens on pu se payer ça, ils ont tous l'air pauvre... les écureuils, les écureuils… Ha, oui. De la famille des…

C’est en laissant aller mes penser que je m'endormis.
____________________________
je suis fatiguer... 3 pièce d'or... j'ai repris mon retard

Je suis en train de manger quand l'homme assis à côté de moi me dit discrètement de faire le guet dehor pendant que lui s'occupe de faire un massacre dans la taverne et qu'il me donnera la moitié de ce qu'il trouvera. Je sors dehors et je m'accôte juste à côté de la porte. Je mets la main sur ma rapière pour dissuader les passants de vouloir entrer dans la taverne. Les passants me regarde d'un drôle d'air. Au bout de plusieurs minutes qui me semble une éternité l'homme sort et me tend 5 pièces de cuivres, 1 pièce d'argent et 2 pièces et me dit:

Si on te pose des questions, tu ne m'as jamais vu, oublie moi...

J'acquiesce et je prends une autre direction que lui pour sortir de la ville. Je m'arrête à un poste de garde pour leur demander la route à suivre pour aller dans la campagne. En voyant la tronche vérollé de plusieurs d'entre eux je décide de poursuivre ma route vers la sortie. Je tombe sur 2 passants et je leur demande la route à suivre pour aller dans la campagne. Ils me disent de prendre la direction de l'est une fois sortie de la ville. Je les remercies et quitte la ville.

Je prends la direction de l'est. Plus je marche et plus je sens la fatigue m'envahir, « il faut que je m'arrête, je ne peux plus continuer ainsi, mais il faut que je rattrape ces voleurs et vite, Bien le village de paysan est enfin en vu après je ne sais conbien de temps j'ai pu marcher, enfin un bon sommeil m'attends ici.» Je marche environ une heure et demi avant de voir le village, il est tard dans l'après midi. Je vais faire un petit somme au pied de cet arbre là-bas.

Je me réveil plusieurs heures plus tard et déjà il y a une lueur à l'est, l'aube arrive. Mes membres sont tout engourdit par le froid et à ne pas bouger. Je fais de lent mouvement pour permettre à mon sang de circuler dans mon corps. Après plusieurs minutes je me lève debout, j'enlève ma frange de cheveux qui cache mon oeil droit pour pouvoir mieux voir le village qui s'étends devant moi. Il y a plusieurs maisons, mais elles sont toute très éloigné les une des autres et au centre de tout cela il y a un bâtiment plus grand que les autre, ce doit être la taverne. Je vais me diriger vers la première maison et je vais comencer mon enquête. J'arrive devant la porte et: TOC TOC TOC.

- Qui va là, si c'est pour me voler ça vous coûtera la vie.

- Je suis venu ici pour avoir des infos sur une armée qui aurait passé dans le coin il n'y a pas longtemps.
Il ouvre sa porte, dans ses mains il tient une vieille hache et me menace de celle-ci.
- Parle vite, je suis pressé.
- Combiens de gens formaient l'armée?
- J'en sais foutrement rien.
- Par où sont-ils partis?
- J'ai trop de boulot.
- Leurs uniformes étaient comment?
- Va t'en j'ai rien a te dire. Et sur ce il me claque la porte au nez.

Un peu plus loin sur la route je rencontre un autre homme qui s'en va sans doute au champ. Je cours vers lui et je finis par arriver à sa hauteur. C'est un homme bien solide, qui m'a l'air très violent, mais je lui pose tout de même mes questions.

Il me répond qu'il n'a pas de temps et qu'il est débordé de travail. Quand je lui pose ma troisième question il me dit:

- Ecoute mon p'tit gars, j'ai du travail, va jouer ailleurs sinon j'te colle la torgnole de ta vie

Je m'en vais en courant. Plus loin dans un champ je vois deux hommes qui sont en train de labourer, l'un tire et l'autre mêne la charrue pour quel reste en ligne droite. Je m'approche d'eux de biais pour ne pas le affoler. Celui qui tire me vois et fait à soon compagnon de regarder dans ma direction. Arrivé à leur hauteur je dis:
- Boujour, je suis venu ici pour avoir certaines infos sur une armée qui serait passé dans le coin.
- Va s'y pose tes questions mon gars.
- Combiens de gens formaient l'armée?
Celui qui tire me dit qu'ils étaient trois fois plus que les gens qui forme notre communauté, sinon nous nous serions défendu, car ils sont partis avec presque toutenos têtes de bétails.
- Non mon cher, écouter moi plus tôt, ils étaient plus d'une centaine, peut être deux.
- Par où sont-ils partis?
Les deux sont d'accord sur le fait qu'ils sont partit vers le nord.
- Leurs uniformes étaient comment?
Les deux me disent que leurs uniformes étaient de couleur ocre et blanc et que leur bannière représentait un furret ocre sur fond blanc.
Je les remercie et reprend ma route jusqu'à ce que j'arrive à la taverne. Des gens sont assis sur la terrasse et discute. Je réussis à capter l'attention de deux personnes et je leur pose ma première question et tout de suite l'un des deux un imposant gaillard, impose le silence à tous. Tous écoute ma question, l'un répond une chose, un autre n'est pas d'accord, un troisième est d'accord avec le premier et le quatrième se lève, prend sa chaise et la fracasse sur son voisin et bientôt tout le monde se jette sur l'autre et une bagarre éclate. Je file vite de là pour ne pas être mêlé à tout ça.

Je décide de quitter le village par le nord. Je passe à travers champ. Je m'arrête net quand:
STOP, SORT DE MON CHAMP TOUT DE SUITE PETIT CHENAPAN. C'est un vieil homme qui me dit ça et qui essais de courir vers moi me menaçant de sa canne.
- Où crois-tu aller comme ça en traversant mon champ?
- Je vais au nord sur la trace de l'armée qui est passé ici.
- Une armée trop vaste pour un seul homme et il ne sont pas partie au nord mais à l'ouest et ils sont très bien armée, croit moi.
- Merci pour l'info, mais je crois que je vais continuer au nord.

Je plante là le vieillard et je continu à avancer dans son champ vers la forêt. En route vers l'aventure et l'inconnu.

( J'avais 5 pièces d'or, j'ai reçu 5 pièces de cuivre, 1 d'argent et deux d'or. Cela fait 7 pièces d'or, 5 de cuivre et 1 d'argent.)