Médiéval Fantastique (Ouvert)

taloche lui répondit

-si tu ne veut pas me donner ton nom je ne te donnerai surement pas le mien. donner son nom et s'escuser quand on tente de voler un objet précieu à quelqu'un est une marque de politesse de base. J'aime encore moins les gens malpoli que les voleurs alors je m'en vais.

taloche parti en marchant calmement.

Lorsqu'il arriva a rimmington, les gardes ne le laissairent pas passez. Il leur demanda qu'est-ce qu'y n'allait pas lorsque Duessel arriva en courant.

-Où est-ce que tu étais passé? qu'est-ce qui s'est passé dans la foret?!? mon dieux tu a une mine épouvantable!

taloche lui raconta son aventure dans les caverne

-alors... les gobelins... nous n'en enttendrons plus parler? moi qui t'avais sous estimer. c'est incroyable! vien au moins te reposer chez moi. Nous reparlerons de tous ça demain.

Taloche alla donc dormir chez duesel. Lorsqu'il se réveilla le matin il vit des soulier et des vêtements de paysan neuf sur sa table de chevet. Il les mit parce que son linge et c'est botte a moitier réduite en cendre commencait à l'énervé. Il jeta son vieu linge au vidange et mis son épée en bandouilère dans son dos, comme d'abitude. et acrocha sa dague a sa cheville.

Une foule s'était rassemblé a l'entré de la maison. Lorsqu'Il sortit, tout le monde chuchota en le regardant. Le seigneur de rimmington arriva alors et dit

-Tu nous a rendu un grand service hier. Nous avions mis une récompense de 100 piece d'or pour quiquonque nous d'ébarrasera de c'est goblins... mais... vous comprenner.. les temps son dur et... vous voyer... nous n'avons pu que rassembler 25 piece alors...
-se sera parfait! alors c'est ça... heu.... bon alors... je vais y aller moi!

taloche entra dans la maison et lorsqu'il arriva dans la cuisine duessel était en train de manger. Taloche lui dit aurevoir et après une poigner de main il sortit par la porte de derrière et courut jusqu'a la porte de la ville. un garde a l'entré lui preta un cheval pour le remercier et taloche parti donc au pas, Skippy a l'épaule. vers.. vers... il ne le savait pas encore, mais il aurait le temps de penser.

Un des deux hommes s'en allait d'un air vexé. Bah, ce n'était surement pas la peine d'aller leur demander des réponses, il n'avait surement pas compris ce qui c'était passé, après tout les cerveaux humains étaient plus lent que les nôtres.

Je me dirigeais donc vers le lieu de l'explosion. Une maison, à moitié écroulé, entouré d'une grande foule de personnes, était recouverte d'une fumée blanche. A l'intérieur, il y avait beaucoup de cadavres, enfin, plutôt des membres, car aucun des gobelins n'était en un seul morceau. Hélas, toute la poudre noire avait été consumée dans l'explosion. En cherchant discrètement quelque chose qui aurait pu m'éclairer sur la présence de gobelins en un tel lieu, je vis un parchemin, en grande partie consumer pas les flammes. Dessus était marqué des inscriptions, qui ressemblaient vaguement à des mots, mais on ne pouvait en lire que quelques uns :

ercher magie Remming
nneau mag

Un dessin circulaire en dessous me fit comprendre qu’il devait surement s'agir un anneau, surement magique.
Mais bon, cela ne me concernait pas. Les gobelins étaient mort et c'était là le plus important. Je me rendis ensuite chez l'artificier, en demandant mon chemin à une musicienne ambulante. En la remerciant, je lui donnais 5 pièces d'or en lui disant qu'elle jouait très bien de la flûte, mais qu'elle n'y mettait pas assez d'émotion quand elle joué, peut être faute de motivation.

Grace à ses indications, je trouvais rapidement la maison. En rentrant dans celle-ci, je vis un vieil homme pleurant sur un tabouret. Il était bien habillé, mais aussi couvert de suit, ce qui offrait un contraste assez intéressant.
- Et bien vieille homme, tu m’a l’air bien triste, lui dis-je
- Bah l’homme est-il vraiment fait pour être heureux… bah, vous ne devez surement pas être là pour vous lamenter sur mon sort, pourquoi êtes-vous ici ? me répondit-il
- Et bien j’ai entendu dire que vous posséder de grandes quantités de poudre, et de bonne qualité avec ca, pourriez vous m’en fournir ?
- Un elfe qui utilise de la poudre naine, et bien voila quelque chose de bien étonnant pour conclure ma journée, s’exclama-t-il
- Les nains ne sont pas nos ennemis, mais je ne préfère pas discuter de cela, est ce que vous pourriez me fournir cette poudre ?
- C’est bien là mon malheur, des gobelins sont venus dans la nuit, ils trainaient un canon derrière eux et m’ont dévalisé, il ne me reste plus rien. Je ne comprends même pas comment cela est possible.
- Je vois… et bien j’ai fait ce déplacement pour rien… bah ce n’est pas grave, je trouverais bien une autre ville, tenez, prenez ca, ca pourra peut être vous aider…
Je lui mis 10 pièces d’or sur la table.
-Merci bien, vous êtes bon seigneur, si vous voulez vous pouvez prendre mon cheval, il ne m’est d’aucune utilité
- Non, vous en aurez surement plus besoin que moi, un cheval, ca a de la valeur. Merci quand même. Au revoir.
- Au revoir mon ami.

Je repartais donc bredouille. Bah pour l’instant, il ne me restait plus qu’à trouver un autre village, pour me procurer la poudre. De toute façon, je n’avais pas grand-chose d’autre à faire, le temps n’était pas un problème pour moi, mais il me fallait trouver une auberge pour la nuit.

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Il me reste 35 pièces d'or.

Ça faisait plusieurs jours que je gardais la même routine. Flannant la nuit et jouant un peu de musique le jour pour arriver à quitter enfin ce maudit village. J'étais d'autant plus impatiente de partir car ces dernier temps des explosions c'étaient faites entendre dans la forêt et tous ces gobelins qui rodent commençais à me faire peur, je savais que je ne serais pas en mesure de me défendre si j'en croisais une bande.

Je me suis tout de même fait pas mal d'argent, avec une moyenne de 3 pièces par jour, j'allais pouvoir aller à la rencontre de la caravane qui est attendu demain. Cet après-midi, j'ai même reçu un bonus que 5 pièce pour avoir indiquer la route à quelqu'un, il m'a dit que je jouais bien, mais que je n'y mettais pas assez de cœur. Je dois avouer qu'il n'avait pas totalement tort, je suis plutôt préoccuper ces temps-ci et j'ai seulement hâte de quitter cet endroit. Dommage qu'il y ai ces gobelins, autrement ce village aurait été charmant.

Bon alors j'avais amassé une somme approximative de 80 pièces. Le voyage en caravane devrai couter autour de 30 pièces et je ne veux pas commencer ce voyage sans un chandail de laine qui me serait d'une grande utilité. Pour être certaine de ne pas manquer le début du voyage demain, je vais acheter ma veste cet après-midi. Je me rendit donc chez Fil d'argent, la boutique de couturier de la ville. J'avais déjà remarqué la veste que je voulais, un tricot noir, simple qui descendait jusqu'au genou. Ma cape était amplement grande pour que je puisse porter cette veste en dessous. Je m'avançai donc au comptoir pour discuter avec le vendeur.

-Bonjours monsieur.
-Bien le bonjours ma petite dame! Comme puis-je vous aider?
-J'aimerais bien vous acheter ce tricot noir, c'est combien?
-Ah madame a du goût, ce chandail est 10 pièces. Mais... (il sembla hésiter)
-Oui?...
-Est-ce que je pourrais me permettre de vous proposer un vêtement comportant certains avantages...
-Oui, et bien je suis ouverte aux propositions.
-Suivez moi...

Je suivis donc le petit homme dans l'arrière boutique. Là, il me montra une veste semblable presque identique à celle que je lui avait précédemment indiquée, à l'exception que la laine semblait être de meilleure qualité.

-En quoi cette veste est particulière monsieur?
-Mademoiselle, cette pièce de vêtement a la particularité d'accentuer vos sens, de les aiguisés au point de parfois vous permettre de sentir les choses venir ou encore de deviner les pensées des gens autour de vous. Ces pouvoir ne sont pas vraiment contrôlable ou infaillible, mais un pré-sentiment pourrait vous sauvez la vie....
-Heu ok... .mais qu'est-ce qui me dit que vous n'essayer pas de me berner?

Le vendeur fit alors un petit sourire et souleva la veste. Il passa derrière moi et m'invita à l'enfiler. Tout de suite, je sentis une forte et agréable odeur de pain frais que je n'avais pas remarquer avant. Et alors que je me retournais pour faire face au petit homme et lui faire part de cette sensation, je ressentis une grande tristesse à l'instant où mon regard rencontra le vendeur. Je senti alors que le pauvre petit homme avait perdu son fils une ou deux semaines au paravent.

-Mes condoléances monsieur.
-Ah merci ma petite, et puis? Vous êtes intéressé?
-Certainement! Combien?
-Normalement je ne la laisserais pas partir pour moins de 30 pièces, mais j'ai entendu votre musique et elle m'a réchauffé le cœur quand j'en avais bien besoin alors pour vous ça sera 25 pièces.

Je sût qu'il était sincère. Je le remercia donc en lui payant le prix qu'il m'avait indiqué et je sorti de la boutique découvrant des bruits que je n'avais jamais entendu et savourant des odeurs qui m'étaient encore inconnues. En plus de me réchauffer, cette veste me rassura beaucoup, si des gobelins approchaient, je sentirais leur puanteur et j'aurai amplement le temps de m'enfuir.

Heureuse, je pris la direction de la taverne pour aller jouer un peu et gagner mon souper. Demain, j'allais partir.

(Il me reste 55 pièces)
(J'en avais 62 avant ce message, avec l'argent d'une semaine de travail je suis monté à 80, l'achat de ma veste -25, il m'en reste 55, No prob phaïa ;-P )
(Je ne relirais pas mon message pour corriger les fautes de verbe, mais je promets de faire plus attention à l'avenir ^.^ )

L'homme partit. Certes j'ai essayé de le voler mais bon...Enfin bref je n'ai que trop tardé. J'ai un contrat à honorer...Tient où est passé ce papier.........Je l'ai perdu...Perdu le papier de ma mission...Bon ben tant pis, je trouverais bien un peu d'argent.

Plus de raison de rentrer a la ville...Enfin si je dois aller a la boutique m'acheter un peu de nourriture, assez de sauter les repas et de voler, trop risqué...

J'entra donc dans la ville, saluant les gardes, ils avaient l'air joyeux...
Je me rendit a une boutique, personne, enfin si une personne dans l'arrière boutique en train de montrer une veste a...une demoiselle je dirais, dur de bien voir, ils sont dans l'ombre. Tiens un cavalier...Quel beau cheval...
Bon voyons où sont les écuries, finalement voler c'est pas si mal...Mais avant passons a l'auberge, un bon repas me fera le plus grand bien...

* Se restaure en vrai aussi *

Bon maintenant faut que je parte d'ici...?...De la musique ?
Je me rendis a la taverne où une demoiselle jouait de la flute, de la musique, c'est rare que j'en entende...
J'entra donc dans la taverne et demanda simplement de l'eau, en écoutant de la flûte...Je me leva a la fin d'un air pour donner 10 pièces d'or a la joueuse puis me rassit.

Très bien. je m'excuse. (il me reste 65 piece) 50-10 a xyelios + 25 du village
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taloche arriva vite a une ville nommée Lumbridge. ça fesait changement de la pallisade en bois et des cabane en bois rond avec des toit en chaume. Ici, tout était en brique. la haute muraille de pierre cachait des maison entasser derière et au fond un chateau se tenait, fesant toute la largeur de la ville. elle était splendieuse. taloche dessendit de son cheval et lui donna une tape sur le dos en lui disant de repartir vers rimmington. Le cheval, étant bien dresser, y retourna. Taloche voulut entré dans la ville mes les gardes l'arrêtèrent.

-Désoler monsieurs, mais depuis le meurte de deux de nos copatriotes, nous avons renforcer les mesure de sécuriter. veuiller nous dire pourquoi vous venez ici armé.
-Je ne suis qu'un voyageur du nom de taloche. je viens de rimmington et je ne viens que recherché un toit pendant quelque jour.
-très bien. nous alons vous confisquer vos armes et vous laisser passez. reprennez les quand vous aller sortir.

taloche leurs remit son épée et sa dague après un moment d'ésitation, il haissait se débarraser de c'est armes. entra donc dans la ville et regarda autour de lui. il se dit allors ''Pourquoi est-ce que je suis entré ici?''. il aussa les épaule et commenca a marchez dans les rue.

Tout était normal à la taverne, je n'avais toujours rien reçu quand un homme se leva et déposa 10 pièces devant moi. Puis sans rien dire, il retourna à sa place. Étrange, j'eus le sentiment qu'il n'entendait pas souvent de musique, j'entrepris donc de jouer les plus beaux airs que je connaisse. Il m'observa tranquillement, il avait l'air songeur. À la tombé de la nuit, je cru bon de partir pour trouver un peu de sommeil afin d'être prête pour la longue journée qui m'attendais demain. Avant de partir je pris un petit repas avec l'argent que je venais de recevoir. Je pris le temps de remercier le mystérieux donateur qui se contenta de me sourire, puis je sortis.

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Le soleil se lève tranquillement. Je n'ai pas eu de difficulté à me trouver un coin douiller pour dormir et j'ai pu reprendre des forces. Maintenant que je suis réveillée, pas de temps à perdre, je me rends au centre du village pour attendre la caravane.

Par chance, je suis arrivé presque en même temps que la diligence au centre du village. Une longue caravane en bois avec un toit était tiré par 2 chevaux. Il n'y avait que trois personnes à bord, tous des hommes. Rapidement, je me rendis à l'avant pour indiquer au propriétaire que je désirais me rendre jusqu'au village d'Eramdad avec eux, il m'annonça le prix, 30 pièces, marché conclu! Le voyage allait duré environ 5 jours car il arrêtait dans tous les petits villages et prenais un détour pour s'y rendre. Comme j'aurais aimé être bonne cavalière, se rendre à Eramdad prend environ 1 jour du matin au soir quand on y va au galop. Bon enfin je n'avais pas vraiment le choix. 1 heure plus tard nous quittions Rimmington.

(55 + 10 (Merci Xyelios) = 65 - 2(repas chaud à l'auberge) = 63 - 30(voyage) il me reste 33 pièces)

J'arrive maintenant au village. Tout est calme comme à l'habitude. J'arrive à la porte et les deux gardes me salue. Je me dirige immédiatement vers la maison du vielle homme pour lui redonner et ainsi finir la quête qu'on m'avait offerte. Je cogna trois coup à sa porte. J'entendis alors l'homme se lever, se dirigé vers la porte et demander:

-Qui est la?
-Je me nomme Gryz. C'est à moi que vous avez demandé de récupérer votre dague....
-A ouais, je reconnais maintenant ta voie, vient entre!

Je rentre dans sa maison et je m'assoie sur une chaise.

Le vielle homme - Alors comme sa, vous avez retrouvez ma dague?
Gryz - Oui, monsieur, la voila (je sort la dague et lui donne)
-Bravo le jeune, mais il devait y avoir une personne qui gardait la dague? Es ce qu'il s'en ai aperçu que tu lui a pris?
-Je crois pas qu'il s'en ai aperçu, vu sont étais froid et tout raide..
-Et t'en a vus d'autre?
-En faite, maintenant que vous en parlez... c'est vrai que c'est bizarre! J'ai vue personne d'autre... (Je commença à penser : Quand le groupe vont découvrir la perte de la dague et la perte de leur collègue... Il vont venir ici, dans la ville et tout saccager... Je ferais mieux de quitter la ville le plus vite possible....)

Je lui demanda ma récompense qu'il m'avait promis (il me donna 10 Pieces d'or). Je le remercia et sortit de la maison...

Je dois me dépêcher de quitter la ville! Je pris Charlie et partit vers le prochain village nommé Eramdad qui étais a une journée au trot.
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J'avais 37 pieces d'or, maintenant j'en ai 47 car l'homme m'en à donner 10...

Taloche se rendit a une taverne. il était près de midi donc il acheta une bonne soupe et demanda a l'aubergiste ou été la place du marché. L'aubergiste lui donna des indication et taloche les suivit. Il entra dans un magazin de vêtement et d'armure. Il s'acheta une tunique noir avec une grande cape noire ainsi que des bottes en cuir épaisse comme il avais avant pour 15 pièce. Il s'acheta aussi une armure de cuir qui lui couvrait le ventre, la poitrine et le dos, pas d'épaulette. elle lui couvrait parfaitement le corps et ne nuisait aucunement ses mouvements. avec sa cape elle ne parraissait presque pas. Il la paya 15 pièces d'or. il alla ensuite dans un magasin d'arme, bien décider a s'acheter un nouvel arc. Le premier étant carboniser en écraser dans une caverne a rimmington. Il en trouvas un aussi long, mais plus confortable et moins encombrant a porté. il était d'une très belle fabrication, en bois de chène qui est très bon pour les arcs et leur donnait une belle couleur presque dorée. elle lui couta 20 piece, 5 de plus que le prix courant. taloche s'acheta aussi une douzaine de flèche en fer de construction acceptable parce que les premières avais subit le même sort que l'arc. 10 pièce en moins. taloche sortit alors du batiment, plus pret a l'aventure que jamais.
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65-2-15-15-10-20= 3 pièce d'or. (ouch! mon porte monnaie!)

La nuit tombée déjà. Je n'avais trouvé aucune auberge, seulement une petite taverne. J'y pris un repas chaud, avant d'acheter quelques fruits au tavernier, pour mon voyage. Je remarquai un homme que j'avais déjà remarqué, un de ceux qui avait tué les gobelins. Il y avait aussi la musicienne qui m'avait renseigné.

Rapidement, je sortis. Demain, commencerais un nouveau voyage, et même si je ne savais pas trop où me rendre, il valait mieux que je me couche tôt. Sortant du village, je m'avançai vers la forêt.
- Eh, ou est ce que vous aller comme ca ?! m’interpellât un de gardes
- Et bien, je vais dormir.
- Dans la forêt ? Mais vous êtes fou !! Il y a des dizaines de gobelins qui rodent là bas.
- Bonne nuit messieurs. lui répondis-je en m'éloignant
Il ne bougea pas.

Mais en réalité, il n'avait pas tort, je savais qu'il y a avait des gobelins, mais je n'avais pas peur de ceux-ci, au contraire.

En marchant dans la forêt en cherchant un abri, un de mes pieds s'enfonça dans la terre, tout près d'un arbre.
C'était étrange, mon pied était dans le vide. En enlevant mon pied je compris qu'il y avait un espace vide, juste en dessous de l'arbre. Ne cherchant pas à comprendre les bizarreries de la nature je m'y blottis en me recouvrant de ma couverture.

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Il faisait encore nuit, quand je me réveillai. Je n'avais pas besoin de beaucoup de repos, quelques heures suffisaient.
Le soleil allait bientôt se lever, alors que je sortais de mon trou, mais quelque chose était bizarre. La forêt était à la fois calme et agité. Il n'y avait aucun bruit, mais les animaux semblaient avoir peur de quelque chose, ils cherchaient tous un abri.

En me déplaçant silencieusement vers le village, je vis, en plein milieu de la route, un campement. Plusieurs hommes étaient déjà debout. Ce n'était pas des hommes civilisés, mais plutôt des barbares, à en juger par leurs habits, surement du Nord. Ils portaient des peaux de bêtes, qui leur recouvraient les épaules et leur servaient comme une cape. Chaqu'un portait plusieurs épées.

J'écoutai leurs conversations :
- Debout tout le monde !!! Il faut y aller tant qu'il fait noir !!! hurlai l'un d'eux, qui semblait parler la même langue que les humains.
Il semblait être le chef, car il était plus lourdement et richement armé que les autres. Je me demandai ce qu'ils pouvaient bien faire là...
- Chef, on est obligé d'y aller ? demandai l'un
- Bien sur, on va venger Roudar et récupérait la dague ! répliquai-t-il
- On va bruler un village, et tout ca pour une dague...
Personne ne répondit.

Le village le plus proche était Remington, et ca devait être surement le village dont ils parlaient. Bien que ne comprenant pas leur but, il fallait les arrêter. Remington devait posséder cinq ou six gardes tout au plus, alors qu'ils étaient dix. Ils ne feraient pas le poids. Ils étaient en train de défaire leur campement.

Je grimpai à un arbre, après avoir disposé à ses pieds une deux bouteilles d’alcool fort. Les deux étaient ouvertes et elles étaient reliées par un chiffon qui sortait de leur goulot.

Je m’installais là ou je pouvais bien les voir et où l’épaisseur des feuilles était juste suffisante pour me cacher, et qui ne ralentirait pas mes flèches. Je saisis mon arc, ainsi qu’une flèche qui aurait pu paraître étrange à n'importe qui. Elle n’était pas pointue, mais formait une boule de métal assez lourde, elle ne pouvait être lancé à moins que la cible soit assez proche.

Un des hommes, sans casque, vînt sous mon arbre pour récupérer ses armes.
Un sifflement ce fit entendre.
Deux secondes plus tard, il était par terre, assommé. Aucune effusion de sang inutile. Personne n’avait entendu, il était tombé par terre et l’herbe avait amorti le bruit. Une des tentes le cachait.
- Neuf

Deux minutes passèrent, avant qu’un autre dise qu’il allait chasser quelque chose. Même procédé, lui aussi assommé, sans aucun bruit. Mais il n’était caché par rien.
- Huit

Je préparé un autre bout de chiffon, que j’allumé. Alors qu’il se consumait, je repris mon arc, et cette fois ci prit une flèche bien aiguisée.
Là-bas dans l’arbre !! hurla un des barbares en me désignant. Il avait remarqué le cadavre de son camarade, et m’étant volontairement mal caché, il me vît.
Il s’élança vers mon arbre, mais cela pris plusieurs secondes avant que les autres ne comprênent. Cela fut assez longtemps pour que leur chef se vide de son sang, la gorge transpercé d'une flèche.
Ils s’élancèrent vers moi et tentèrent de grimper à l’arbre.
Je saisis une flèche, la planta dans le chiffon qui y resta accroché et la lança en direction des deux bouteilles.
BRAAAOUM !!

Le soleil se levait enfin. En rentrant au village, j’essayais encore d’enlever les morceaux de verres incrustés dans mon bras. La douleur était grande, et je devais souvent m’arrêter.
Tous les barbares avaient été blessé dans l’explosion, et aucun n’été en état de me poursuivre, bien que blesser moi-même. Sans chef, ils n’avaient plus aucune raisons d'attaquer le village. Je ne tenaît pas particuliêrement à ce dernier, mais tuer des gens innocents pour une dague me parraissait absurde.
Un convois était déjà bien loin.
Peut être me mainerait-il à un village. Je suivais ses traces.

je quitte maintenant la ville... Il s'est passer beaucoup de chose dans un si petite ville... Je dépasse un homme qui a l'Air de suivre les trace d'une diligence...

J'ai voyager pendant une demi-heure quand je dépasse enfin la diligence!...

Il fait maintenant presque la nuit. Je décide de m'arrêter au porte de la ville d'Eramdad et me faire une tente fait avec des branches pour ne pas que la pluie rentre (si jamais il pleut...) Je me suis endormi presque aussitôt...

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J'ai rien amasser donc j'ai encore 47 pieces d'or

La journée passait tranquillement. Un homme nous suivait d'assez loin, pourquoi? Je ne sais pas trop, mais je sentais que si je n'avais pas eu ma veste je ne l'aurais peut-être pas vu, il me semblait vraiment loin. Quelques cavaliers nous dépassèrent, me faisant encore plus regretter de ne pas avoir de monture.

Vers la fin de l'après-midi, la caravane pris une petite route à travers les bois pour faire un détour et ainsi traverser de petits villages. Les hommes qui voyageaient avec moi n'étaient pas très intéressants, ils passèrent la journée à roupiller dans leur coin, la conversation ne semblait pas les intéresser.

À l'approche d'un village dont j'ignorais l'existence autant que le nom, j'eus un étrange pressentiment... Étrange, mais pas effrayant, non, j'avais plutôt l'impression que j'allais faire une rencontre bien spéciale, je sentais comme une énergie. Mes sentiments se confirmèrent lorsque j'aperçus un jeune homme qui se joignais à notre expédition. Il avait une caractéristique particulière, une caractéristique que je croyais presque être la seule à posséder: Il avait les cheveux rouges vifs comme moi et je me suis tout de suite sentie lié à lui, comme si nous étions de la même famille. Enfin, j'allais peut-être savoir d'où je venais...

Je regardai le soleil… midi… Je ne savais plus trop quoi faire, mais je devrais peut-être me trouver une mission… ma bourse était légère. Je m’assit sur le mur d’un batiment et je lançai une de mes pièces en l’air en la ratrappant.

-pile… He merde… pile… he merde… PILE!… euf… face?... bien entendu! C’est pile… pile… MAIS C’EST QUOI LES CHANCES!!! FACE! Non! Pile! Non! Pile! Non! Pile! Non! FACE! PILE! FACE! FACE! FACE! PILE!

La pièce me glissa des mains et elle finit sa course dans une bouche d’égout.

-surprise…

Je me rendis dans une bibliothèque pour trouver de l’information sur ma bague. Je lis tout se qui concernais les bijoux magique. Il faisait maintenant nuit quand j’arrivai à la dernière page du dernier livre de ma pile que je m’étais préparé et je m’appr…

-Il semble que vous n’aviez pas trouvé de réponse a vos question… puis-je vous aidez? Me dit le bibliothécaire

Je fis un bond spectaculaire dut à la surprise en me levant. Le derrière de mes genoux frappa la chaise qui heurta la table. Mes livres, déjà en équilibre précaire, tombèrent par terre en accrochant une échelle au passage qui tomba sur une étagère qui ne résista pas au poids de la lourde échelle et s’écrasa sur le sol.

BAAM!

Je regardai se gâchis avec une expression horrifier. Et je me précipitai pour remettre ça en ordre tout en marmonnant des excuses.

Un quart d’heure plus tard, Je fini par remettre tout en ordre avec l’aide du bibliothécaire qui me dit :

-Vous savez… vous me rappelez un homme qui était tout aussi malchanceux. Un vieil ami a moi… oui… un type bizarre qui nommait tout se qui lui appartenais avec des noms incroyables... Son fils s’appelait taloche… Vous croyez ça? Vieille branche vas! Hahaha! Appeler un être humain avec un nom de bizarre. Hors du commun…
- Je m’appelle taloche…

Son teint pris une étrange teinte pourpre... ou plutôt violet.

-Et j’aime bien mon nom… du moins… c’est tout se qui me reste de lui…
-Il est… vous voulez dire… il a été?
-Ouaip.
-Désoler de l’apprendre…
-En fait je dis que c’est tout se qui me reste de lui mais…

Je sortis mon anneau de ma poche. Son teint pris une teinte bleuté, puis verdâtre, avant de devenir blanc comme un drap.

-Vous avez… le… son…
-Anneau?
-Oui! Tout fait du sens! Il vous a donné se nom bizarrement laid pour être sur que je ne me mélange pas avec quelqu’un d’autre.
-Le prénommer bizarrement laid est présent dans la salle je te rappelle! Et que veux-tu dire par que tu ne me mélange pas avec quelqu’un d’autre?

Il fut pris de tremblement énervé puis courut dans la pièce en mettant plus de désordre que j’aurais pu faire. Il entra dans une autre pièce et ressortit avec quelque chose dans la main.

-tenez! Je l’ai acheté en pensant à toi. Une chaine en mithril! Une vraie affaire. L’homme qui me la vendu a du croire que c’était de l’argent, mais il ne se rendit pas compte qu’il m’a vendu quelque chose qui a plus de valeur que la ville au complet pour une poigner de pièces d’or. Si elle casse ou si vous êtes encombré par elle, je suis prête à te donner ma boutique!

Il repartit comme il est venu pour aller dans une autre pièce. J’en profitai pour mettre mon anneau autour de mon cou avec le collier de mithril. La valeur d’une ville? En un collier? Gratuitement? La chance venait de me sourire pour la deuxième fois de ma vie. J’avais peut-être encore un espoir… J’entendis alors un cri dans la pièce voisine. Il revint en trébuchant.

-Le livre!!! Perdu!!! Je l’ai vendu par erreur a la bibliothèque d’Avaroka avec d’autre livre que je voulais me débarrassé!!!
-Il me semblait aussi…

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J'ai perdu une piece.... plus que 2!

Tiens, ici les traces de la caravane s’écartaient de la route principale ? Et bien, surement un village pour la nuit. Je n’étais pas pressé et de toute façon, je préférais ne pas voyager complètement seul. La caravane servait de bouclier, s'il y avait des bandits, ils s'en prendraient à eux et je pourrais facilement les contourner, ainsi je n'aurais pas à encore verser le sang. D'ailleurs ca me faisais penser que je n'avais déjà plus de cicatrices de l'explosion de cette mâtiné, ma peau était à nouveau lisse.

Bon et bien en attendant il fallait bien m'occuper. Je regardais mon épée...
Et bien, voyons voir s'il y a un mage dans ce village.

J'évitais consciemment toutes les personnes de la caravane. Normalement j'aurais du payer pour connaître le chemin.
Je me renseignais auprès des villageois. Aucun magicien, mais un vieil ermite qui habitait pas très loin prétendait avoir des pouvoirs surnaturels, de la magie surement.
Je m'enfonçais alors dans la forêt. Il habitait dans une caverne qui était visible depuis le village. La forêt était calme. De nombreux animaux vivaient là, à l'abri de la civilisation.
Je ne les dérangeais pas et aucun ne m'était hostile. Ainsi, il n'y eu aucun incident ; cela changeait des hommes...

Enfin la caverne. Alors que j'y pénétrais, je fus surpris par l'apparition derrière moi d'un homme d'âge mur. Je ne l'avais même pas sentie venir.
- Ce n'est pas très poli de rentrer ainsi chez les gens. me disait-il
Sa voie était forte mais calme.
- Je n'apprécie pas vraiment que l'on se glisse ainsi dans mon dos, non plus. Êtes-vous l'homme qui habite ici ?
- Disons que c'est mon antre, oui, mais même si tous la connaissent il est rare que des humains viennent m'y visiter, que voulez vous ?
- On m'a appris que vous possédiez quelques dons de magiciens ?
- Disons que la nature m’a appris beaucoup, oui.
Je tirais mon épée.
- Pourriez-vous restaurer l'éclat de cette épée ?
Il examinait l'épée.
- Drôles d'inscriptions, ses pouvoirs ne fonctionnent plus depuis que vous avez quitté vos terres, n'est ce pas, elfe ?
- Oui, c'est bien cela, alors qu'auparavant elle puisait son énergie dans l'air ambiant chargé de magie, ici, c'est impossible, il faudrait donc qu'elle puise l'énergie magique en moi.
- Et bien heureusement que les créations humaines ne fonctionnent pas ainsi, mais je pense que je peux vous faire cela.
- J'imagine que des pièces d'or ne vous sont d'aucune utilité, mais comment voulez vous que je vous paye ?
- Vos pièces me seront bien pratiques au contraire, voyer-vous j’aimerais bien faire quelques expérimentations sur l’or, d’après ce j’ais pu voir, c’est une matière très intéressante.
- Combien en voulez vous ? Sacher que les humains payent ce service environ 30 de ces pièces.
- Je suis un humain ! Ca sera donc 30 pièces d’or, je vous fais confiance.
Les voici. Je sortis les 30 pièces d’or et lui donnai. Plus que 3 pièces.
- Bien laisser moi seul avec l’épée à présent. J’hésitai un instant.

Une puissante lumière verte fut émit jusqu’à l’entrée de la grotte ou je me trouvais. Je rentrai.
Le vieillard gisait par terre. Je me précipitais vers lui.
- Que vous est-il arrivé ?
L’épée…épé…é… il s’endormit. Il n’était pas souffrant mais on aurait juste dit qu’il n’avait plus aucune énergie en lui. J’aurais du m’en douter, les humains ne sont pas assez résistant pour ca. Une des runes brillait encore un peu, elle était de couleur verte. Ainsi, il n’a pu restaurer qu’un seul des pouvoirs ? Bon nous verrons si dans le prochain village il y a un autre mage. Mais comment le payer ?...
La caravane...

Je me lève maintenant... c'est l'aube... Le soleil ce lève sur les montagnes lointaine. C'étais vraiment époustouflant... Sa fait longtemps que je n'ai pas pris le temps de regarder un lever de soleil...

Une heure durant. je défait mon camp de fortune et je me remis en marche a coter de Charlie, pour ne pas l'épuiser pour rien...

Je marche sur la route qui mène a la route... sa fait maintenant une heure que je marche sous la pluie battante... Mes cheveux me collent au visage...Après un tournant, j'aperçois enfin la ville tant attendu... La porte est immense. Et la ville est complètement fortifier. Il y a plein de soldat qui se promène sur les murs... Des archers pour être précis. Quelconque voleur ou bandit qui tenterais de s'approcher de la ville recevront une pluie de flèche avant même de voir le dedans de la ville... Une chance que je suis honnête et presque sans tâche...

Je m'approche de la porte. Il y a deux garde... en me voyant, ils me disent
-Bonjour à toi! Ton nom et le motif qui t'emmène dans cette ville paisible?
- Mon nom est Gryz! Je ne suis qu'un mercenaire, sans emploi pour l'instant... Je cherche une nouvelle aventure et j'aimerais la trouvée dans cette ville.
-Et tu à des armes sur toi... Les armes des aventuriers comme toi sont interdis dans cette ville. Si tu veut rentrée, tu nous prête tes armes et nous les garderons ici...
- hmmm, j'aime pas vraiment me séparer de mes armes, mais si c'est pour le bien de cette magnifique ville je veut bien.

Je retire alors ma hache de mon dos et je lui donne (en sachant que si j'en ai besoin, elle apparaitra dans ma main ). Je retire aussi une dague que j'avais dissimuler dans le revers de ma ceinture. Voila, c'est tout ce que j'ai monsieur.
- Merci beaucoup mon cher^^. C'est rare les aventuriers qui nous laisse leurs armes aussi facilement....
-N'es ce pas^^. Vous me laisser entrer maintenant?
-Ouais, ce sera pas long. OUVREZ LA PORTE!

Et la porte commença a s'ouvrir tranquillement dans un grincement...

Prénom/nom : Aerlar Isiphos,
Métier : Alchimiste/naturaliste,
- 186cm,
- Pois normal, parfois insuffisant lors de trop longues expéditions,
- Cheveux longs, lisses et blancs,
- Comme équipement, une simple cuirasse blanche en couches de cuir et de lin, ainsi qu'une cape bleu-vert foncé,
- Une épée courte,
- 50 pièces d'or.

Pour un alchimiste, je bien suis pauvre: toute ma fortune s'est évaporée lors de l'incendie de ma demeure. Malgré mon jeune âge (22 ans), j'ai des cheveux blancs à cause d'un produit trop salé qui m'a éclaté à la figure...
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Le matin se lève. J'aime profiter du calme matinal, lorsque les oiseaux se réveillent en chantant et que la plupart des hommes dorment encore, donc je suis debout avant la majorité des gens.
Je descends, comme chaque jour, chercher mon pain chez le boulanger. Depuis que ma maison a flambé à cause d'un voleur maladroit, qui a renversé des fioles contenant des gaz hautement inflammables, je vis en préparant des potions çà et là, selon ce que les gens me demandent, mais je gagne rarement assez pour me faire des économies.

En trainant dans la ville, afin de voir l'activité journalière commencer, un grand bruit sinistre, venant du dehors des enceintes, me surpris et m'ébranla de mes plus profondes fondations. Malgré tous mes voyages, je n'avais jamais entendu une créature dont le rugissement arriverait ne serait-ce qu'à la cheville ce celui-ci! Tout autour de moi, des citoyens apeurés passaient la tête par une fenêtre de leur maison ou sortaient dans la ruelle étroite. Les enceintes étaient trop hautes comme pour me laisser voir la forêt, comme c'était possible du haut de ma colline. Tout ce que je percevais, c'était les oiseaux quittant leurs nids pour s'envoler, tous ensembles, hors des arbres.

Je décide de rentrer chez moi, donc je quitte tant bien que mal la ruelle qui à présent est remplie d'une foule inquiète, discutant avec de grands gestes et créant des rumeurs diverses et variées. J'arrive jusque chez moi et j'essaie de me mettre tout de suite au travail : il faut que je sache quelle créature fantastique peut bien pousser un rugissement aussi horrible, aussi rauque, mais je n'ai pas le temps d'arriver à ce qu'il reste de mon ancienne bibliothèque que déjà, quelqu'un frappe à ma porte. C'était un messager du maire, qui semblait essoufflé.
- Aelar! Le maire veut te parler en urgence, à propos du cri monstrueux de tout à l'heure!
- D'accord, j'y vais à l'instant.

Accompagné du messager, j'arrive chez le maire, où les autres nobles et les religieux étaient déjà réunis afin de prendre une décision sur la réaction qu'on devrait avoir face à une menace certaine planant au dehors.
- Messieurs, veuillez prendre place. Pour ouvrir cette session extraordinaire, je tiens à vous rappeler l'évènement qui s'est déroulé il y a quelques dizaines de minutes : un cri terrifiant, d'une créature jusque maintenant inconnue, a retenti en ville. Nous l'avons tous entendus, et la panique règne déjà parmi les autres citoyens. Peut-être que l'un d'entre vous sait de quoi il s'agit, mais la priorité, pour notre bien à tous, est de trouver un moyen de garantir l'ordre et la sécurité.

Après ces mots, le silence tombe sur l'assemblé. Chacun réfléchissait au mieux à sa réponse, car même dans ce genre de cas, les haut-placés cherchent à gagner les faveurs du maire en donnant la meilleure réponse possible, qui ridiculiserait les autres. Mais je me moque bien de ces jeux futiles, donc je me décide à prendre la parole :
- Pour commencer, Monsieur le Maire, ce serait une mauvaise idée de se barricader tout de suite. Certes, l'extérieur est dangereux, mais la plus grande menace reste l'ignorance : si nous ne cherchons pas à découvrir ce qu'est cette bête et ce dont elle est capable, nous ne réussirons peut-être pas à prendre la bonne mesure afin de nous protéger. Pour cette raison, je me propose personnellement, accompagné d'une escorte si possible, à chercher l'animal et apporter une description complète.

Je vois que mes mots mettent mal à l'aise certains parmi l'assemblée, mais je n'ai aucun remord.
- L'alchimiste n'a pas tort, répondit un vieux noble d'une voix dédaigneuse, mais il ne répond pas à la question que vous avez posé, Monsieur le Maire. Il ne propose aucune solution pour la sécurité interne. Donc, ma personne propose de mobiliser les soldats professionnels et de lever une milice d'archers...

Il n'eut pas le temps de répondre que déjà un autre prenait la parole pour le contester, puis un autre, jusqu'à ce que tout le monde lance ses arguments... et l'assemblée extraordinaire part dans un débat dans lequel chacun défend avec ferveur ses propres idées pour intérêt personnel, et non communautaire...
...

La journée s'est écoulée, et la session n'a mené qu'à de vagues conclusions. Une fois cette absurdité finie, je rentre chez moi rapidement afin de bien me reposer, car la journée de demain sera longue et chargée...

Je sortis de la bibliothèque. Avarocka était bien a quelque jour de marche, mais si je réussissais à voyager avec une diligence j'y serai avant le fin de la journée. En marchant des les rues, je vis le mercenaire qui m'avais parlé avant mon retour a Rimmington, je lui envoyai vaguement la main. Je sortis de l'enceinte de la ville et je demandai au garde mes choses qui me remirent ma bonne vielle épée, ma dague ainsi que mon arc et mes flèches qui avaient été envoyé au poste de garde après leurs achats. Je vis une diligence avec ''AVAROCKA'' d'écrit dessus. Je m'avançai vers l'homme a l'avant qui me dit avec un sourire trop gros pour être sincère:

-Bonjours! Comment allez-vous noble monsieur? Regarder moi ce joli petit écureuil! Vous avez du goût monsieur!
-Très bien. J’aimerais...
-Prendre place dans la diligence? hahaha! Ne dite rien, vous êtes come un livre! hahaha! bien sur! Se sera 30 pièces!
-Eh bien...
Je sortis mes deux pièces avec un sourire navré et son sourire tourna aussitôt de sens pour devenir un air grognon.

-Foutez le camp d'ici. On ne sert pas les vilains et les pauvres. Allez! Du balai!
-d'accord... d'accord...

Le marchant me regarda partir vers une autre diligence du coin de l'œil avant d'accueillir d'autre client qui entrèrent. Une heure et des poussières plus tard il cria :

-TRÈS BIEN! ON EST PLEIN!!! EN AVANT!!!

La diligence partit vers Avarocka

-idiot, murmurai-je bien accrocher sous la diligence, Skippy aillant presque l'air de faire un sourire.

La porte s'ouvre sur une ville calme et agiter a la fois... Calme à cause qu'il n'y aucun danger a l'horizon et agiter a cause des petits marché qu'il y a un peu partout..

Je marche maintenant dans l'allée des marchands... Certain vendent des fruits et des légumes, certain vende des armures et des bouclier. Bref, tout ce qui se vend bien de retrouve ici.

Je vagabonde maintenant depuis deux heures... toujours la même chose, des commerçant m'arrête et me demande d'examiner leur camelote... Mais rien de tout cela étais réellement intéressant.. Je trouve rien qui pourrais m'intéresser réellement... Ce que je voudrais est une Quête a accomplir... Mais je crois que sa se fait rare par ici... A moins que je cherche dans les tavernes du coin... J'avais aussi besoin de boire un coup, pour noyer ma solitude dans le fond d'une bouteille...

La première Taverne que je visite s'appelle Le poney effarouché... Quelle nom bizarre. Je rentre. Les conversation s'arrête...
- Bah quoi, vous avez jamais vue de mercenaire! En disant cela, les conversation reprirent... En plus d'avoir un nom bizarre, l'endroit est bizarre aussi... Je m'assis au comptoir et je commande de la boisson pour homme... Je boit 4 ou 5 bouteille et je me chercha une autre taverne vu qu'il n'y avais rien a faire dans l'autre...

La deuxième taverne que je trouve s'appelle au vieux magiciens qui tousse... (quoi! encore un nom pourri -_-''). Je rentre dans la taverne mais cette fois si les conversation continuèrent... mais les gens me dévisagèrent... QU'ES CE QUE J'AI! Alors tout le monde se tourna comme si rien ne s'était passer... Je commande encore 3 ou 4 boisson d'homme, de la vrai! Même chose ensuite je repartit, mais je commence a avoir les pied un peu rond...

La dernière Taverne que je visite s'appelle (je crois que je suis trop bourré pour lire)... Je rentre alors dans la taverne. C'est une taverne de brigand a se que je vois... tout le monde on l'air de regarder si j'ai de l'argent sur moi. Je m'assis comme si rien n'était. Je me commande quelque boisson plus forte qu'une boisson d'homme... Je boit ma boisson tranquille mais un peu vacillant quand soudain je sent quelqu'un se rapprocher de moi pour me voler ma bourse... Je me retourna et je fis apparaitre ma hache la seconde avant que je lui loge en pleine tête... Je la fit disparaitre aussitôt. Les autres client on maintenant les yeux rond et personne n'ose se lever pour aider leur compagnons... Je ressortit de la taverne pour aller me coucher en dehors de la ville, la ou j'ai coucher hier, a l'abri des regard...
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J'avais 47 Pièces d'or... J'ai commander en tout 10 bouteille de boisson de 1 pièce d'or chaque.. ce qui me fait 37 pièces d'or maintenant...

La seule chose que j'ai appris du garçon aux cheveux rouges, c'est qu'il s'appel Antoine. C'est un drôle de nom, je me demande d'où ça peut venir, ça ne me semble pas être de notre époque... De toute façon, toute les autres fois que j'ai voulu lui adresser la parole, l'homme m'a littéralement ignoré. Il passe sont temps le nez dans un livre d'apparence banale et il ne lève les yeux que lorsque l'on arrive dans un nouveau village, où il arrête sa lecture pour manger un peu.

J'en peut plus de ce voyage qui ne veut pas finir. On arrive demain à Eramdad! J'ai hâte, en attendant, un peu de musique pour me détendre.

Je commençais à être fatiguer de voyager. Le soleil venait de se lever et j’étais partit vers minuit. J’ai mal au bras et aux jambes et je ne peux pas avoir de positon confortable sous une diligence. J’étais en train de m'éditer sur les meilleures recettes de crêpes que je savais (n'importe quoi pour s'occuper) quand un cri monstrueux se fit entendre. Les chevaux firent un écart et sortirent du chemin. Je me cramponnai du mieux que je pus pour rester à ma place. J’étais déjà dans un équilibre précaire quand Skippy me mordilla l'oreille. Je regardai autour de moi pour voir qu’on se dirigeait tout droit sur une grosse pierre qui allait passer tout juste sous la diligence. Je n'eu d'autre choix que de lâcher prise après avoir détaché mon étui a épée en bandoulière qui tient tout mon équipement. Le choc fut pire que je l’aurais imaginé. Je roulai sur moi même a plusieurs reprise avant de finir ma course sur la dite roche. Bien sonné, je mis du temps à faire calmer la douleur qui faisait rage à chaque centimètre de mon corps. Après quelque minute que commença à me dépêtrer de ma cape et me leva. Je retirai la terre sur mes vêtements d'un mouvement sec avant d'aller chercher mes armes, heureusement intactes. Skippy arriva par le chemin, il a du attendre de revenir a un endroit plus stable avant de sauter. Je me dirigeai en chancelant vers la ville que je voyais un peu plus loin.

J’arrivai a la porte et les gardes me laissèrent passer après une longue liste de question, surement du au fait du rugissement. Je m’assis dans une auberge et je commandai un repas avec mes dernières pièces. En essayant de voir qu’est-ce que j’allais faire pour la suite.
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Un beau gros Zéro pièces d’or pour taloche

La nuit a été longue. La bête a hurlé quelques fois pendant que l'obscurité régnait, ce qui inquiétait tous les habitants. Malgré mon manque de sommeil, je décide de me diriger vers ma bibliothèque miniature et de prendre un livre sur les créatures rares. Je passe ainsi une heure, voire deux, à lire les descriptions des bêtes les plus grandes, mais le hurlement ne correspondait pas.
Déçu, je sors de chez moi pour me diriger vers la maison communale, chez le maire. Je marche ainsi pendant quelques minutes et je rentre, malgré la résistance acharnée de l'un des gardes. J'arrive enfin devant le maire, et je me décide à lui exposer mon point de vue :
- Mon Seigneur, j'ai cherché dans les quelques livres que je possède un animal pouvant correspondre à celui qui rôde dehors, mais je n'ai rien trouvé... je persiste avec l'idée qu'il faut voir à l'extérieur ce que c'est, on trouvera peut-être une solution avec un peu plus de détails que le simple cri.
- Et vous comptez toujours vous mettre en péril pour ça?
- Oui. Vous hésitez probablement à me faire accompagner, et en y repensant à l'instant, je pense que j'ai assez de matériel pour faire rapidement quelques bombes fumigènes, si jamais ça tourne mal...
- C'est une situation délicate, comprenez-le. Vous êtes le seul alchimiste de la ville et vous avez raison de vouloir vous renseigner, mais y aller seul est du suicide, et même avec une escorte, ce n'est pas dit que tout le monde revienne.
- Peut-être. Mais si nous ne cherchons pas à trouver plus d'informations, il est possible que tout le monde meurt. Si je ne reviens pas malgré mes fumigènes, c'est que la créature est rapide et forte, donc il faudra déployer beaucoup d'hommes pour l'abattre.
- ... C'est d'accord. Tâchez de revenir en un seul morceau pour ce soir.

Je remercie le maire et je le salue, puis je retourne à ma demeure. Pendant quelques heures, je prépare de la poudre et je cherche un foulard qui protègera mon nez du soufre piquant si jamais je dois faire exploser les bombes.
Une fois mes préparatifs finis et mon armure enfilée, je me dirige vers les portes de la ville, en essayant de ne pas penser à l'éventualité de la mort. Il est midi passé, mais le soleil brille encore haut dans le ciel. L'après-midi vient à peine d'être entamé, j'ai plusieurs heures devant moi.
Quand je passe devant la troupe de garde postés aux portes, ceux-ci me dévisagent avec un air incrédule, mais je n'ai pas le temps de leur expliquer et je fonce droit devant moi. À peine sorti des enceintes, je sens déjà la peur me saisir. La forêt m'entoure de part et d'autre, la route même se perd dans ses entrailles, en tournant à gauche, à droite, de telle sorte qu'on la voit disparaitre, ne laissant que le vert océan de la forêt devant moi, et, au loin, de blanches montagnes. Il faut cependant que je quitte le chemin, que je m'enfonce dans le labyrinthe forestier, peut-être la dernière chose que je verrai de mon vivant.

Pendant les minutes suivantes, je marche déjà dans le paysage sylvestre avec des efforts redoutables, attentif au moindre bruit et utilisant une vieille technique de chasse, qui consiste à faire de grands pas lents et réguliers, afin de limiter le bruit. J'essaie de me guider d'après là d'où provenaient le plus souvent les hurlements. Je m'arrête net : un craquement de brindilles suivi d'un bruissement dans le feuillage d'un buisson, à ma gauche. Je tremble de tous mes membres, ma main gauche cramponnée à la petite pièce en céramique ronde qui contenait ma poudre fumigène, l'autre main serrant le poignet de mon épée. Un autre bruissement s'en suivit, et je sursaute quand je vois qu'il ne s'agit que d'un lynx curieux. Ça m'énerve... pourquoi est-ce que c'est obligé d'en être ainsi? J'éloigne le félin avec de grands gestes, et je continue mon exploration, agacé et apeuré.

J'arrive tant bien que mal à retrouver mon calme, quand j'entends tout à coup une respiration lourde et accélérée... on aurait presque dit un ronflement, l'indice qui me dément est l'espèce de grognement inhumain qui accompagne le tout. Je colle tout de suite mon dos contre l'arbre le plus proche, et j'essaie d'analyser : ça ressemble beaucoup à un sanglier, mais en plus fort. Les grognement ne sont pas naturels non plus...
Mes réflexions sont stoppées quand je me rends compte qu'il n'y a plus aucun bruit. Je me suis laissé déconcentrer! La bête m'a repéré, elle est aux aguets et attend que je bouge! Je reste immobile, sentant chaque pulsion de mon cœur, comptant chaque goute de sueur dévalant mon front, je maudis la chaleur qui m'accable, mon dos et mes doigts sont trempes, j'ai peur de faire glisser ma lame si je la dégaine...
Je sens le monstre approcher, ses pas réguliers et secs font craquer les branches et les feuilles mortes tapissant le sol. La respiration reprend, plus lente néanmoins. Cela ne fait qu'augmenter mon angoisse, surtout lorsque je me rends compte qu'elle provient d'un point situé plus haut que moi, la créature doit mesurer au moins deux mètres! Je lève les yeux, pour regarder à ma droite : un long museau terrifiant apparaissait lentement de derrière le tronc. À cette vision, ma peur s'évanouit, je ne pense plus à rien et tous mes nerfs sont alertes. Quelques secondes de silence, qui me paraissent une éternité, puis une longue inspiration. La bête me flaire, et une seconde plus tard, le museau plonge dans ma direction, la mâchoire grande ouverte, laissant paraitre des crocs meurtriers et une gueule longe et fine, horriblement surnaturelle. Je m'esquive de justesse, et les dents se plantent dans l'arbre. Je constate enfin la nature de l'ombre qui traumatise la ville depuis hier : On dirait un loup, maigre et presque squelettique, mais les muscles des membres sont clairement définis. Les pattes antérieurs sont légèrement plus longues que les postérieurs, mais celles-ci sont plus musclées, ce que doit permettre à l'animal de faire des bonds phénoménaux. Il est démuni de fourrure, mais est recouvert d'un cuir qui me semble terriblement épais et ses doigts sont très séparés les uns des autres par rapport à un loup normal, et les griffes qui les terminent font au minimum trois centimètres (un pouce plus ou moins).

Je le regarde se débattre avec fugue dans des gestes puissants et vifs pour se libérer du tronc, avec des grognements féroces. Je lui jette une bombe fumigène dessus, qui éclate grâce à deux produits qui explosent en entrant en contact. Cela libère une épaisse fumée grise ainsi que le soufre acide, piquant les narines du monstre au point de lui arracher un hurlement terrible, comme ceux qui parviennent en ville. Je suis à moité étourdi, mes tympans me font mal, mais je prends mes jambes à mon cou, j'en sais assez, j'en ai vu trop...
Je cours toujours aussi vite que je peux, dans la lueur verte et déclinante de la forêt. J'arrive jusqu'au chemin, la porte est là, à une centaine de mètres de moi! Je suis soulagé et j'esquisse un sourire lorsqu'un coup violent me colle à terre : l'horrible monstre m'a suivi! Je suis sonné, mais je constate qu'il s'est levé sur ses deux pattes arrière, il me regarde avec colère et est prêt à me déchiqueter. Lentement, j'arrive à sortir une boule en céramique et je la secoue violemment dans ma main, et elle éclate presque aussitôt. Je sens une terrible brulure et je crie, mais elle a eu l'effet désiré: le soufre condensé atteint les narines de la créature - ce qui le fait hurler derechef - et la fumée s'étend rapidement, l'empêchant ainsi de me voir. En rassemblant mes dernières forces, je me lève et sans chercher à comprendre, je m'échappe de cet enfer. Je pense qu'il ne pourra plus me suivre jusqu'à ce que je sois en sureté, car il ne peut me voir ou me sentir... les gardes ont vu la scène, et referment la porte massive aussitôt rentré. Je vois des soldats qui verrouillent l'entrée, d'autres qui courent vers moi avec un air inquiet et partout, l'excitation règne : Des archers montent sur les remparts et des curieux s'amassent jusqu'à former un cercle autour de ma personne, mais je n'ai pas le temps d'en voir plus car je m'écroule à terre, épuisé, et je m'évanouis...

Félicitations à ceux qui ont réussi à tout lire sans s'endormir, et merci aussi.

La caravane s’arrête encore pour la nuit. De ce que j’ai entendu, nous ne somme plus très loin de la ville, à quelques heures, tout au plus. Mais ils disent aussi que la route est trop dangereuse pour continuer de nuit, avec la pluie, certains passages peuvent devenir infranchissables à cause de la boue. De plus, des animaux étranges ont été signalés dans les parages. Je n’en ai que faire.

Alors qu’ils s’arrêtent et dressent un campement, je les dépasse et continue sur la route. Quelques vieux panneaux m’aident à trouver mon chemin. En réalité, c’est presque tout le temps tout droit.

Une heure se passe sans incident. J’entends au loin d’étranges hurlement sans réussir à vraiment distinguer leur auteur. Mais de part leurs intensités, ce n’est surement pas une créature normale. Peut être une œuvre du Chaos… Qu’importe le bruit ne provient pas de la ville ou je me rends, mais de plus au Sud, cela ne me concerne pas, bien que je plaints les humains qui la croiseront.
Je continu tout droit.

La pluie me ralentit. Le chantier est boueux, voir complètement inondé à certains endroits. Mes vêtements sont trempés et n’y vois plus rien à cause du brouillard qui c’est levé. J’essaye de me repérer par rapport à la forme vaguement droite du chemin.
Je continu tout droit.

A un moment donné j’entends un bruit étrange, mais la pluie ne m’aide pas à découvrir son origine. C’est tout proche. Non, en fait, il y a plusieurs bruits, ils viennent du même endroit, mais je ne suis pas sure. On m’observe. Je tourne sur moi-même, à la recherche de créatures. Rien, je n’y vois rien. Je porte la main à mon épée. Toujours rien. Un grognement. Un autre. La peur commence à m’inonder. Si seulement je les voyais. Concentre-toi. Le Chaos, oui, ce sont des créatures qui ont mutées sous l'emprise du Chaos. S’il y en avait qu’une seule… Des yeux rouges, c’est bon je les vois. Ils sont trois, ils m’observent. J’ai retrouvé mon sang froid, en réalité ils ne sont pas très grands, mais ils sont jeunes, oui, ils ont une apparence juvénile. Leur naissance ne remonte pas à très longtemps. Cela me rappelle les cris de tout à l’heure…
Je dégaine. Il est hors de question de mourir ici. Je m’avance calmement vers les bêtes en serrant fort mon épée. Leurs regards se troublent, une légère hésitation se fait sentir. Une des bêtes saute sur moi. Sa vitesse est hallucinante. Je n’ai pas le temps de réagir, je suis par terre. Sur moi, elle essaye de me mordre à la gorge, tout en enfonçant ses griffes dans mon torse. Je saigne. Je retiens sa mâchoire de mon épée, mais les deux autres arrivent. Je tire d’un coup sur l’épée, qui entraine un peu de chair avec, ainsi qu'un cris de douleur. Puis sans lui laisser le temps de comprendre, j’enfonce mon épée dans ses cotes.
Au lieu de s’enfoncer, celle-ci est déviée, ne lui causant qu’une éraflure. Ca peau ressemble à du cuir, impossible de la blesser sérieusement. D’un coup de pied, je la projette au dessus de moi. Tout prêt de la route, un arbre. Je lance mon épée dessus avec assez de force pour qu’elle se plante. Cette fois, j’arrive à prévoir les mouvements des bêtes malgré leurs vitesses, et les esquive.
Je saute sur le manche de l’épée vers une branche, en récupérant l’épée d’une main, et attrapant une branche de l’autre.
Mon pied droit me fait mal, alors que je me hisse avec peine sur la branche, une des créatures y est en effet accrochée, les deux autres essayent de sauter, mais sans réussite. Je le frappe de mon épée, mais ca ne lui fait pas lâcher prise, la douleur est atroce. Je saisis une flèche, en me stabilisant tant bien que mal, malgré la pluie, et lui plante dans l’œil. Du sang gicle. Il lâche enfin prise. Je grimpe encore plus haut dans l’arbre.
Je ne peux plus m’appuyer sur mon pied droit sans ressentir une horrible douleur.
Deux branches cotes à cotes me servent à m’allonger. En bas, les loups, si on peut les appeler comme ca, tentent de grimper sur l’arbre, mais leurs efforts sont inutiles.

Je n’ai plus de force, mes vêtements sont déchirés, et je saigne abondamment du pied droit et du torse. Les créatures restent à hurler un moment avant de partir. Je me suis enroulé le pied droit d’un bout de couverture pour calmer l’effusion de sang. Pareille au niveau du torse.

Je tente de rester éveiller, mais finalement je perds connaissance…

Je quittai l'auberge ou je m’étais installer, du moins je mis fit mettre dehors, par manque d'argent. je me dit qu'il devais bien y avoir des avis de recherches ou des demande d'emploi pour les aventurier dans un village d'une taille respectable comme celui la et je ne fut pas déçu. En me promenant de toit en toit, je découvris une agglomération de soldat, mercenaire et aventurier de toutes les couleurs. Je descendis pour aller voir. On leurs distribuait des taches qu’ils devaient accomplir. Un des hommes derrières le contoir me pointa du doigt et dit sans me laisser le temps de répliquer:

-toi! Vas au village d’Éronoh à l'est et rapatrie tout le monde ici pour leurs sécurités.
-quoi? Mais je...
-AU SUIVANT!

Je cherchais un travail et je l'avais. Ils devaient être dans tous leurs états à cause du cri de tout à l'heure. Je partis tout de suite, mon estomac n'attendra pas après l'aube pour se manifesté.

Le trajet se fit sans trop de problème. J’arrivai au village d’Éronoh qu'un peu avant la nuit. Ce n'était qu'une douzaine d'habitation sans aucune protection. Se village semblait centré sur l'agriculture vu les champs qui l'encerclait. Il ne semblait y avoir personne. J'entendis alors des cris dans les champs. Un groupe d'une trentaine de personne se faisait tourner autour d'eux par deux loups, à une centaine de mètre du village. Ne voyant pas le danger, J'encochai une flèche dans mon arc tout neuf. Je visai et... tirai. C'était la première fois que je tirais avec mon arc. Il était définitivement plus puissant que mon ancien. La flèche décolla comme une balle et toucha un loup à l'épaule. La flèche ne s'enfonça que jusqu'au début de la tête en fer. Il la retira comme une écharde avec sa gueule et courut vers moi. Je vis mon erreur dans c'est yeux rouge et son air assoiffer de sang, mais, surtout, dans sa course d'une rapidité incroyable. Ce n'était surêment pas un loup ordinaire. J'entrai dans la maison la plus proche de moi et comme je fermais la porte, J’entendis la tête du monstre s'y frappé. Il continua à essayer de la défoncer alors je montai les escaliers pour aller en haut. J’entendis un craquement. La porte en bois venait de se fissurer. Dans la seul pièce du haut il y avait un ameublement confortable et une grande fenêtre qui faisait face au champ, vis à vis de la porte. Je regardai en bas et vis le loup réussir en entré sa tête par le trou qu'il agrandissait de seconde en seconde. Je remarquai un lourd et robuste meuble de chêne à coter de la fenêtre. Je le trainai de peine et de misère vis a vis de la fenêtre et réussit à le faire basculer en bas. Le loup, qui avais maintenant une patte de pris dans la porte ne put éviter. Il lui tomba sur le dos, le loup cria, mais ne semblait pas vraiment blesser alors, avant que le meuble ne tomba du dos du loup, Je sautai dessus. Le poids combiné de moi et du meuble produit un craquement sinistre. La colonne du monstre, tordu par la porte et le meuble, venait de lâcher. Du coin de l'œil, je vis l'autre loup se jeter sur moi. Il me griffa le bras gauche et je tombai du meuble sur le dos. mon bras saignait abondament par les quatre profond sillion que les griffe avait causer. Il voulut m'achever en sautant sur moi, toute griffe dehors, mais je roulai sur moi-même pour l'esquiver. Je sortis mon épée et lui abatis sur le cou d'un seul mouvement, mais, vif comme l'éclair, il l'arrêta avec ses dents et il me l'arracha des mains. Il me plaqua avec le dessus de sa tête et je tomba par terre. Quand il voulut me broyer la gorge avec ses dents, Je sortis ma dague pour lui planter sur la tempe. Cette tentative désespéré n'eu pas l'effet voulut. Elle dévia sur le visage du monstre pour aller se planter jusqu'a la garde dans son œil. Je la retirai de la et le loup s'enfuit, fou de douleurs.

Toujour en attente d'une quête qui serait digne d'un mercenaire comme moi, je déambule dans la ville tout en regardant les offres de quêtes...

Retrouvez mon lapin. je l'ai perdu il y a de cela deux jour. Je donnerais toute mes économies pour le retrouvez...

Mon voisin me parrait louche.. Pouvez vous enqueter pour moi... Signé un xénophobe

Pour une recette j'ai besoin...

J'ai besoin de quelqu'un pour...

Bon bref... Rien de mon augure... Je retourne à mon auberge pour attendre le lendemain...

Il pleuvait des clous le jour où nous sommes finalement arrivé à Eramdad. L'homme aux cheveux rouge n'avait toujours pas daigné m'adresser la parole, j'ai donc quitté la diligence sans demander mon reste et je commençais à explorer la ville. Définitivement plus grande que Rimmington, cette ville avait plusieurs auberge. J'en choisit une au hasard pour jouer un peu de musique, je n'en avais pas beaucoup jouer durant le voyage. De toute façon, je n'avais pas vraiment envie d'explorer avec le temps qu'il faisait dehors.

Le poney effarouché! Quel nom étrange, peu importe, c'est là que je vais jouer pour la journée.